Plusieurs marches ont été organisées par les étudiants de Tizi-Ouzou contre l'insécurité (Ph. A. Djoudi SIWEL)
La protestation s’amplifie alors que la santé des deux étudiants agressés mercredi dernier à l’intérieur de la résidence universitaire Boukhalfa II est jugée « critique », a indiqué à Siwel une source hospitalière.
Après l’incident qui a eu pour théâtre la cité universitaire de Boukhalfa et qui a vu deux étudiants violement agressés par des agents de sécurité de la résidence universitaire Boukhalfa II; les étudiants ont décidé de réagir à travers deux action de protestions.
Le mercredi dernier, ils ont improvisé une marche vers la résidence du wali de Tizi-Ouzou située au centre-ville. Il était 1h du matin lorsqu'une importante foule a pris possession des lieux pour dénoncer le « laxisme » des autorités de wilaya et « l’absence de réaction » vis-à-vis du problème d’insécurité à l’université.
Des forces antiémeute ont intervenu pour disperser les étudiants à coup de bombes lacrymogènes. Une réaction dénoncée par les étudiants. « Au moment ou l’Etat algérien laisse faire des voyous qui s’emparent des rues, elle réprime les étudiants, quelle aberration! », confie Mohand, membre du comité estudiantin de la cité universitaire de Boukhalfa.
Apres une marche organisée hier jeudi du campus universitaire Hasnaoua vers le siége de wilaya, les étudiants ont décidé d’occuper le siège de la direction des œuvres universitaires centre.
kab
SIWEL 111710 MAR 11
Après l’incident qui a eu pour théâtre la cité universitaire de Boukhalfa et qui a vu deux étudiants violement agressés par des agents de sécurité de la résidence universitaire Boukhalfa II; les étudiants ont décidé de réagir à travers deux action de protestions.
Le mercredi dernier, ils ont improvisé une marche vers la résidence du wali de Tizi-Ouzou située au centre-ville. Il était 1h du matin lorsqu'une importante foule a pris possession des lieux pour dénoncer le « laxisme » des autorités de wilaya et « l’absence de réaction » vis-à-vis du problème d’insécurité à l’université.
Des forces antiémeute ont intervenu pour disperser les étudiants à coup de bombes lacrymogènes. Une réaction dénoncée par les étudiants. « Au moment ou l’Etat algérien laisse faire des voyous qui s’emparent des rues, elle réprime les étudiants, quelle aberration! », confie Mohand, membre du comité estudiantin de la cité universitaire de Boukhalfa.
Apres une marche organisée hier jeudi du campus universitaire Hasnaoua vers le siége de wilaya, les étudiants ont décidé d’occuper le siège de la direction des œuvres universitaires centre.
kab
SIWEL 111710 MAR 11