Dans une lettre adressée au chef de l'Etat algérien Abdelaziz Bouteflika, ces entreprises ont rappelé que le maire de Tizi-Ouzou Naguim Koli a fait appel à eux en temps de crise, mais que depuis ils n'ont pas été payés.
« Nous travaillons dans des conditions déplorables, on n’a même pas de quoi nous payer des vaccins qui sont obligatoires dans ce métier », lit-on dans cette lettre.
Selon le collectif de ces entreprises le maire refuse de les recevoir. Ce que les rédacteurs de la lettre ont qualifié « de grave atteinte au droit des personnes ».
Comme rapporté précédemment par Siwel, la ville de Tizi-Ouzou croule depuis plus de 15 jours sous les ordures qui menacent la santé publique sous la chaleur torride qui augmente le taux de risque.
tt
SIWEL 091335 JUIN 12
« Nous travaillons dans des conditions déplorables, on n’a même pas de quoi nous payer des vaccins qui sont obligatoires dans ce métier », lit-on dans cette lettre.
Selon le collectif de ces entreprises le maire refuse de les recevoir. Ce que les rédacteurs de la lettre ont qualifié « de grave atteinte au droit des personnes ».
Comme rapporté précédemment par Siwel, la ville de Tizi-Ouzou croule depuis plus de 15 jours sous les ordures qui menacent la santé publique sous la chaleur torride qui augmente le taux de risque.
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SIWEL 091335 JUIN 12