C’est dire que cette unité couvre près de 80% de la consommation à Tizi Ouzou. Pour le moment rien n’indique que ce nouveau mouvement s’inscrira dans la durée.
Tout a commencé suite à une grogne qui est née après qu’ils aient reçu leurs fiches de paie : les 370 travailleurs de l’unité ont noté, nous a indiqué, une source proche, le non versement de la prime de rendement individuel (PRI). Mais tout porte à croire que ce n’est là que la goutte qui fait déborder le vase. Dépourvu de syndicat, puisque celui existant a été suspendu depuis le mois de juillet dernier par l’union de wilaya de la puissante centrale syndicale, les travailleurs réclament une suite à la pétition signée par 350 signataires qui envoyée à la centrale pour exiger la réhabilitation du syndicat de l’unité.
Aussi, ils dénoncent, avons-nous appris le licenciement de trois travailleurs et demandent leur réintégration. Ceci tout en réitérant leur demande liée la publication des résultats de la commission interministérielle qui a mené une enquête au sein de cette entreprise au mois de mars dernier pour faire la lumière sur « les irrégularités constatées dans la production du lait » dont « l’utilisation d’une supposée poudre périmée dans la fabrication ».
En plus, les travailleurs parlent de conditions de travail inhumaines au sein de l’unité. Nous rappellerons par ailleurs qu’un gigantesque incendie s’est déclaré il ya quelques jours au niveau du dépôt des pièces détachées, et a causé d’importantes pertes matérielles. Aussi, le collectif des travailleurs avait dans une déclaration rendue publique accusé le RCD d’avoir « participé au bradage de la laiterie ».
Plus loin encore les rédacteurs du document estiment que « le discours kabyliste du RCD ne peut plus tromper personne » (sic) et d’être un parti qui a « accompagné toutes les opérations de bradage et de dissolution de dizaines d’entités économiques dans la wilaya de Tizi-Ouzou » tout en se demandant si le RCD a « peur de la publication des résultats de la commission d’enquête qui demeure l’une des revendications principales des employés ».
aai/tamurt
SIWEL 221830 OCT 12
Tout a commencé suite à une grogne qui est née après qu’ils aient reçu leurs fiches de paie : les 370 travailleurs de l’unité ont noté, nous a indiqué, une source proche, le non versement de la prime de rendement individuel (PRI). Mais tout porte à croire que ce n’est là que la goutte qui fait déborder le vase. Dépourvu de syndicat, puisque celui existant a été suspendu depuis le mois de juillet dernier par l’union de wilaya de la puissante centrale syndicale, les travailleurs réclament une suite à la pétition signée par 350 signataires qui envoyée à la centrale pour exiger la réhabilitation du syndicat de l’unité.
Aussi, ils dénoncent, avons-nous appris le licenciement de trois travailleurs et demandent leur réintégration. Ceci tout en réitérant leur demande liée la publication des résultats de la commission interministérielle qui a mené une enquête au sein de cette entreprise au mois de mars dernier pour faire la lumière sur « les irrégularités constatées dans la production du lait » dont « l’utilisation d’une supposée poudre périmée dans la fabrication ».
En plus, les travailleurs parlent de conditions de travail inhumaines au sein de l’unité. Nous rappellerons par ailleurs qu’un gigantesque incendie s’est déclaré il ya quelques jours au niveau du dépôt des pièces détachées, et a causé d’importantes pertes matérielles. Aussi, le collectif des travailleurs avait dans une déclaration rendue publique accusé le RCD d’avoir « participé au bradage de la laiterie ».
Plus loin encore les rédacteurs du document estiment que « le discours kabyliste du RCD ne peut plus tromper personne » (sic) et d’être un parti qui a « accompagné toutes les opérations de bradage et de dissolution de dizaines d’entités économiques dans la wilaya de Tizi-Ouzou » tout en se demandant si le RCD a « peur de la publication des résultats de la commission d’enquête qui demeure l’une des revendications principales des employés ».
aai/tamurt
SIWEL 221830 OCT 12