Ce sont les habitants du bidonville de Oued Aissi, communément perçus comme des colons arabes, qui sont à l’origine de cette coupure sauvage de la route, et non pas les Kabyles !
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Ces « arabes », comme ils sont nommés ici, réclament des logements après qu'ils aient été volontairement déplacés par l’Etat algérien en Kabylie, en accord avec sa politique de déplacement des populations arabes vers la Kabylie, à chaque fois que l'occasion se présente ( comme par exemple le séisme d'Al Asnam) et ce pour briser l'homogénéité kabyle et y introduire, mine de rien, une masse arabe qui y revendiquera plus tard des "droits". Ces populations, à la langue et aux mœurs différentes de celle des kabyles, et en tous points conformes à la culture officielle de l'Etat algérien, sont des armes humaines et constituent une mise en œuvre pratique de la politique algérienne de "repeuplement" de la Kabylie. Ces différents foyers de peuplements arabes en terre kabyle feront ensuite tâche d’huile, avec l’objectif avéré de "grignoter" progressivement sur les espaces publics kabyles afin d'assimiler les populations kabyles sur leur propre territoire et à terme effacer toute la Kabylie. L'école et l'ensemble des institutions algériennes étant du côté des "nouveaux arrivants", la loi est avec les tenants de l'arabisme contre les kabyles, dont les droits inaliénables sont contestés et même férocement combattus par l'Etat algérien
Aussi, le drapeau kabyle n’a rien à faire dans ces actes de vandalismes qui ne sont pas le fait d kabyles et encore moins trôner au milieu de pneus carbonisés. On peut aisément estimer que cet acte est volontaire afin que l’assentiment des voyageurs et automobilistes kabyles pris en otage ce matin ne se déversent encore et toujours sur les Kabyles qui brandissent cet emblème de liberté t de dignité. Cet emblème, assimilé, à juste titre au combat kabyle sera ensuite exhibé dans le paysage médiatique algérien tellement friand de pouvoir asséner quelques "contrevérités" sur la Kabylie.
Aussi, le drapeau kabyle n’a rien à faire dans ces actes de vandalismes qui ne sont pas le fait d kabyles et encore moins trôner au milieu de pneus carbonisés. On peut aisément estimer que cet acte est volontaire afin que l’assentiment des voyageurs et automobilistes kabyles pris en otage ce matin ne se déversent encore et toujours sur les Kabyles qui brandissent cet emblème de liberté t de dignité. Cet emblème, assimilé, à juste titre au combat kabyle sera ensuite exhibé dans le paysage médiatique algérien tellement friand de pouvoir asséner quelques "contrevérités" sur la Kabylie.
Bidonville de l'Oued Aissi, 2014
Cette population paupérisée et concentrée près de l’oued, depuis quelques années déjà, s’est organisée en une véritable citée, où la tôle laisse place à des parpaings crêpés, le tout dans une totale anarchie. Des véhicules et des camions y sont garés en permanence et des paraboles sortent des habitations comme des champignons.
On peut y croiser des femmes, déguisées en femmes kabyles drapées d’une foutha, en train de mendier avec des adolescentes ou des enfants en bas âge, à Tizi Ouzou-ville alors que tout le monde sait que ce ne sont pas des kabyles. Et ils ne parlent pas un mot de kabyle d'ailleurs. Sans compter que la mendicité est un phénomène totalement inconnu chez les kabyles.
Ce grave précédent n’est pas sans rappeler les échauffourées de l’année dernière entre ces mêmes arabes et les Kabyles. Les nouveaux arrivants débarqués en Kabylie par l'Etat algérien se sont rendus coupables à maintes reprises d’actes de délinquance et d’agressions violentes dans les environs de la gare de Oued Aissi. La mise au ban de cette population par la société kabyle des communes alentours est sans appel et la vigilance est permanente depuis longtemps déjà.
On peut y croiser des femmes, déguisées en femmes kabyles drapées d’une foutha, en train de mendier avec des adolescentes ou des enfants en bas âge, à Tizi Ouzou-ville alors que tout le monde sait que ce ne sont pas des kabyles. Et ils ne parlent pas un mot de kabyle d'ailleurs. Sans compter que la mendicité est un phénomène totalement inconnu chez les kabyles.
Ce grave précédent n’est pas sans rappeler les échauffourées de l’année dernière entre ces mêmes arabes et les Kabyles. Les nouveaux arrivants débarqués en Kabylie par l'Etat algérien se sont rendus coupables à maintes reprises d’actes de délinquance et d’agressions violentes dans les environs de la gare de Oued Aissi. La mise au ban de cette population par la société kabyle des communes alentours est sans appel et la vigilance est permanente depuis longtemps déjà.
Ce genre d’actions sauvages, ce matin, a porté atteinte encore une fois à l'image du peuple Kabyle et aux symboles de la Kabylie
RN12, vue du rond-point Oued Aissi/ 8h00: les Kabyles marchent pour arriver à Tizi Ouzou, 16112014
En brandissant frauduleusement notre drapeau lors de cet évènement qui est complètement étranger à la Kabylie. Et pire, en osant exploiter le drapeau amazigh à des fins d'instrumentalisations politiques et médiatiques pour jeter l'opprobre sur le peuple Kabyle, l'Algérie et ses "créatures" nous montrent, s'il le fallait encore, à quel point la Kabylie est continuellement prise d'assaut et agressée.
Cet acte ne doit pas être minimisé et encore moins se banaliser. Il fait partie d'un ensemble de procédés qui visent à enfoncer la Kabylie dans le magma arabo-islamiste algérien afin de la "normaliser".
Surtout, de cet acte de vandalisme, c'est l’économie de cette partie de la Kabylie qui en sort fragilisée. La désorganisation de tout le trafic autoroutier aura jeté sur les routes tous les voyageurs et étudiants, en ce premier jour de semaine.
Aucun véhicule de particulier, de chantier ou les transports en commun n’ont pu parcourir leur itinéraire convenablement préférant même, pour ceux qui le pouvaient encore, faire demi-tour avant de se retrouver coincés dans un étouffant embouteillage. Les passagers n’ayant le choix qu’entre rentrer chez eux ou parcourir le reste de leur trajet à pieds, jusqu’à Tizi Ouzou.
ACE,
SIWEL 161230 NOV 14
Cet acte ne doit pas être minimisé et encore moins se banaliser. Il fait partie d'un ensemble de procédés qui visent à enfoncer la Kabylie dans le magma arabo-islamiste algérien afin de la "normaliser".
Surtout, de cet acte de vandalisme, c'est l’économie de cette partie de la Kabylie qui en sort fragilisée. La désorganisation de tout le trafic autoroutier aura jeté sur les routes tous les voyageurs et étudiants, en ce premier jour de semaine.
Aucun véhicule de particulier, de chantier ou les transports en commun n’ont pu parcourir leur itinéraire convenablement préférant même, pour ceux qui le pouvaient encore, faire demi-tour avant de se retrouver coincés dans un étouffant embouteillage. Les passagers n’ayant le choix qu’entre rentrer chez eux ou parcourir le reste de leur trajet à pieds, jusqu’à Tizi Ouzou.
ACE,
SIWEL 161230 NOV 14