Pour rectifier le tir, le pouvoir de Bouteflika a instruit son ministre de la Communication, Mohamed Saïd Belaïd pour apporter la contradiction au président français et à son ministre des Affaires étrangères.
Ainsi, selon Mohamed Saïd, « la décision d’autoriser ou non le survol du territoire algérien par des avions français vers le Mali sera prise par les autorités algériennes en fonction des intérêts suprêmes de l’Algérie ». Cette remise en cause des déclarations de responsables français renseigne que la question n’est toujours pas étudiée et reste en suspens.
Comme annoncée par Siwel, la France n’avait demandé aucune autorisation à l’Algérie. Le cadre du ministère algérien des Affaires étrangères qui avait informé Siwel, précise que la France a agit comme si cela dépendait de sa propre décision. Avant d’ajouter que « Bouteflika est capable de tout pour assurer un soutien à son 4e mandat ».
aai
SIWEL 21 1434 JAN 13
Ainsi, selon Mohamed Saïd, « la décision d’autoriser ou non le survol du territoire algérien par des avions français vers le Mali sera prise par les autorités algériennes en fonction des intérêts suprêmes de l’Algérie ». Cette remise en cause des déclarations de responsables français renseigne que la question n’est toujours pas étudiée et reste en suspens.
Comme annoncée par Siwel, la France n’avait demandé aucune autorisation à l’Algérie. Le cadre du ministère algérien des Affaires étrangères qui avait informé Siwel, précise que la France a agit comme si cela dépendait de sa propre décision. Avant d’ajouter que « Bouteflika est capable de tout pour assurer un soutien à son 4e mandat ».
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SIWEL 21 1434 JAN 13