« L’observatoire amazigh des droits et libertés au Maroc, a suivi avec attention et une immense inquiétude les graves évènements qui se sont développés dernièrement dans la vallée du Mzab », lit-on sur le communiqué, qui explique que depuis plusieurs mois, des bandes de pillards organisées continuent de terroriser la population : assassinats, agressions, pillages, incendies; tout cela avec la complicité des forces de l’ordre qui n’hésitent pas leur donner un coup de main contre la population mozabite (plusieurs vidéos confirment cela).
« Après l’assassinat de la dernière victime Mass Hamidoudjana Hocine dans la matinée du jeudi 10/07/2014, aucune arrestation n’a été faite, bien au contraire, les forces de la gendarmerie ont encerclé, réprimé, terrorisé et asphyxié la population avec des bombes lacrymogènes, incendiant et saccageant au passage des maisons et des voitures et effectuant des arrestations arbitraires dans le but d’intimider ».
« Depuis le début des évènements, la complicité étroite des forces de l’ordre avec les hordes de pilleurs et d’agresseurs arabes d’Ain Lebeau, n’a jamais fait de doute ». Devant cette montée insoutenable de la violence à Ghardaïa et dans la vallée du Mzab en général, l’OADL « dénonce la sauvagerie avec laquelle le pouvoir algérien a réprimé et continue de réprimer la population amazighe mozabite », « dénonce le laxisme complice du pouvoir algérien avec les bandes terroristes qui enferment toute une région dans un climat d’insécurité », « exprime aussi son indignation et son étonnement face au silence des instances onusiennes, de la presse occidentale et du parlement européen, restés indifférents à cette tragédie », « partage la douleur des familles des victimes tombés sous les armes de bandes à la solde du pouvoir », « exprime son engagement auprès de ses frères amazighs d’Algérie auxquels nous apportons notre soutien indéfectible, mais aussi auprès des amazighs de toute l’Afrique du nord et du Sahel dans la lutte pour l’instauration de véritables états démocratiques et modernes dans nos régions », « appelle et encourage tous les amazighs de Tamazgha à nouer des liens plus étroits pour faire aboutir notre combat commun pour nos droits et pour notre dignité, ainsi que le respect des libertés démocratiques, qui sont des fondements incontournables pour la construction d’une véritable société libre et démocratique, dans Tamazgha, berceau de notre grande civilisation amazighe ».
aai
SIWEL 18 1756 JUIL 14
« Après l’assassinat de la dernière victime Mass Hamidoudjana Hocine dans la matinée du jeudi 10/07/2014, aucune arrestation n’a été faite, bien au contraire, les forces de la gendarmerie ont encerclé, réprimé, terrorisé et asphyxié la population avec des bombes lacrymogènes, incendiant et saccageant au passage des maisons et des voitures et effectuant des arrestations arbitraires dans le but d’intimider ».
« Depuis le début des évènements, la complicité étroite des forces de l’ordre avec les hordes de pilleurs et d’agresseurs arabes d’Ain Lebeau, n’a jamais fait de doute ». Devant cette montée insoutenable de la violence à Ghardaïa et dans la vallée du Mzab en général, l’OADL « dénonce la sauvagerie avec laquelle le pouvoir algérien a réprimé et continue de réprimer la population amazighe mozabite », « dénonce le laxisme complice du pouvoir algérien avec les bandes terroristes qui enferment toute une région dans un climat d’insécurité », « exprime aussi son indignation et son étonnement face au silence des instances onusiennes, de la presse occidentale et du parlement européen, restés indifférents à cette tragédie », « partage la douleur des familles des victimes tombés sous les armes de bandes à la solde du pouvoir », « exprime son engagement auprès de ses frères amazighs d’Algérie auxquels nous apportons notre soutien indéfectible, mais aussi auprès des amazighs de toute l’Afrique du nord et du Sahel dans la lutte pour l’instauration de véritables états démocratiques et modernes dans nos régions », « appelle et encourage tous les amazighs de Tamazgha à nouer des liens plus étroits pour faire aboutir notre combat commun pour nos droits et pour notre dignité, ainsi que le respect des libertés démocratiques, qui sont des fondements incontournables pour la construction d’une véritable société libre et démocratique, dans Tamazgha, berceau de notre grande civilisation amazighe ».
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SIWEL 18 1756 JUIL 14