Banderole suspendue sur les grilles du stade Kamel Aouis de la Nouvelle Ville de Tizi-Ouzou (PH/DR)
Les supporters du club phare de football en Kabylie continuent de mettre la pression sur Mohand-Chérif Hannachi, président de la JSK depuis près de 20 ans en appelant les « ctiyoyens et citoyennes, petits et grands, qui aiment la JSK » à se mobiliser pour «crier haut et fort le départ immédiat et sans condition de Hannachi».
Les supporters et les anciens joueurs du porte flambeau des revendications kabyles que fut la JSK du temps où elle rafflait tous les titres (au niveau algérien, africain et même arabe !) jusqu'au point où les joueurs kabyles étaient considérés comme les "Brésiliens de l'Afrique", rappellent que le club appartient au peuple kabyle « et son avenir risque d'être hypothéqué par la faute d'un inconscient, irrésponsable ».
Le 19 mai dernier, profitant du match contre l'ASO Chlef coïncidant avec la dernière journée du championnat, les supporters avaient organisé un rassemblement pour « chasser le président mafieux et manipulateur Mohand-Chérif Hannachi, cet énergumène qui préside ce club prestigieux en véritable dictateur depuis près de 20 ans ».
Une caravane guidée par le comité des supporters et d'anciens joueurs de la JSK sillonne depuis quelques semaines la Kabylie pour collecter un maximum de signataires demandant le départ de Moh Cherif Hannachi, président contesté du club kabyle de football.
Parce que son nom contient le mot « Kabylie », le club est considéré par le pouvoir algérien comme le porte-drapeau des idées politico-culturelles du peuple kabyle. Le club avait été ainsi rebaptisé à plusieurs reprise : « Jamiat Sari' Kawkabi » de 1974 à 1977, et « Jeunesse électronique de Tizi-Ouzou » de 1977 à 1989.
wbw
SIWEL 070159 JUIN 12
Les supporters et les anciens joueurs du porte flambeau des revendications kabyles que fut la JSK du temps où elle rafflait tous les titres (au niveau algérien, africain et même arabe !) jusqu'au point où les joueurs kabyles étaient considérés comme les "Brésiliens de l'Afrique", rappellent que le club appartient au peuple kabyle « et son avenir risque d'être hypothéqué par la faute d'un inconscient, irrésponsable ».
Le 19 mai dernier, profitant du match contre l'ASO Chlef coïncidant avec la dernière journée du championnat, les supporters avaient organisé un rassemblement pour « chasser le président mafieux et manipulateur Mohand-Chérif Hannachi, cet énergumène qui préside ce club prestigieux en véritable dictateur depuis près de 20 ans ».
Une caravane guidée par le comité des supporters et d'anciens joueurs de la JSK sillonne depuis quelques semaines la Kabylie pour collecter un maximum de signataires demandant le départ de Moh Cherif Hannachi, président contesté du club kabyle de football.
Parce que son nom contient le mot « Kabylie », le club est considéré par le pouvoir algérien comme le porte-drapeau des idées politico-culturelles du peuple kabyle. Le club avait été ainsi rebaptisé à plusieurs reprise : « Jamiat Sari' Kawkabi » de 1974 à 1977, et « Jeunesse électronique de Tizi-Ouzou » de 1977 à 1989.
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SIWEL 070159 JUIN 12
Communiqué des supporters de la JSK
Rassemblement de supporters devant le stade du 1er novembre à Tizi-Ouzou (PH/ Siwel)