La section MAK de Melbou a commémoré le printemps amazigh le jour du 20 avril après le succès éclatant de la marche organisée par le mouvement kabyle dans la matinée à Vgayet (Béjaia) .
"Le gala artistique organisé à l'occasion n'a pas pour objectif de folkloriser le 20 avril mais c'est plutôt lui donner un sens politique dans toute sa profondeur historique. " a déclaré l'animateur qui est également président de la section locale du MAK.
Après avoir invité le public à s'incliner à la mémoire des martyrs de la Kabylie en observant une minute de silence, l'animateur a rendu un vibrant hommage aux femmes et aux hommes de la Kabylie qui ont se sont sacrifiés pour l'honneur de leur chère patrie colonisée depuis son annexion forcée à l’Algérie par la France coloniale."
Pour l'animateur : les kabyles constituent un peuple et non une minorité. La Kabylie est un pays et non une région. Son salut passe impérativement par le recouvrement de sa souveraineté.".
Avant l'entame du gala, Mouloud Mebarki, président du Conseil national du MAK, invité à s'exprimer sur cette date historique, il a rappelé l'histoire du printemps berbère et du printemps noir qui constituent des repères dans le combat du peuple kabyle pour sa liberté.
L'orateur a mis en garde une assistance très attentive, contre la politique d'arabisation et de salafisation outrancière qui vise la dépersonnalisation pure et simple de la Kabylie.
Pour Mouloud Mebarki : " Bouteflika n'a jamais été le président de la Kabylie et il ne le sera jamais. La Kabylie l'a toujours perçu comme un colonisateur à l'image de tout le régime raciste d'Alger."
Le président du Conseil national du MAK a félicité le peuple kabyle qui a rejeté les élections de la honte pour exprimer dignement son aspiration à disposer de lui-même. " La Kabylie n'est pas concernée par les luttes des clans au sein du pouvoir. Elle veut juste son referendum d'autodétermination pour choisir librement son destin."
Après cette prise de parole des cadres du MAK, c'est le chanteur engagé Oulahlou qui a fait vibrer le public avec ses célèbres chansons contre le pouvoir et pour la liberté et l'unité de la Kabylie.
Notons en fin, que plus de 5 000 bougies ont été allumées aux abords de la route sur une distance de 1,5 km...
Il y a lieu de signaler l'allumage du signe amazigh géant sculpté sur une colline à Melbou.
"Le gala artistique organisé à l'occasion n'a pas pour objectif de folkloriser le 20 avril mais c'est plutôt lui donner un sens politique dans toute sa profondeur historique. " a déclaré l'animateur qui est également président de la section locale du MAK.
Après avoir invité le public à s'incliner à la mémoire des martyrs de la Kabylie en observant une minute de silence, l'animateur a rendu un vibrant hommage aux femmes et aux hommes de la Kabylie qui ont se sont sacrifiés pour l'honneur de leur chère patrie colonisée depuis son annexion forcée à l’Algérie par la France coloniale."
Pour l'animateur : les kabyles constituent un peuple et non une minorité. La Kabylie est un pays et non une région. Son salut passe impérativement par le recouvrement de sa souveraineté.".
Avant l'entame du gala, Mouloud Mebarki, président du Conseil national du MAK, invité à s'exprimer sur cette date historique, il a rappelé l'histoire du printemps berbère et du printemps noir qui constituent des repères dans le combat du peuple kabyle pour sa liberté.
L'orateur a mis en garde une assistance très attentive, contre la politique d'arabisation et de salafisation outrancière qui vise la dépersonnalisation pure et simple de la Kabylie.
Pour Mouloud Mebarki : " Bouteflika n'a jamais été le président de la Kabylie et il ne le sera jamais. La Kabylie l'a toujours perçu comme un colonisateur à l'image de tout le régime raciste d'Alger."
Le président du Conseil national du MAK a félicité le peuple kabyle qui a rejeté les élections de la honte pour exprimer dignement son aspiration à disposer de lui-même. " La Kabylie n'est pas concernée par les luttes des clans au sein du pouvoir. Elle veut juste son referendum d'autodétermination pour choisir librement son destin."
Après cette prise de parole des cadres du MAK, c'est le chanteur engagé Oulahlou qui a fait vibrer le public avec ses célèbres chansons contre le pouvoir et pour la liberté et l'unité de la Kabylie.
Notons en fin, que plus de 5 000 bougies ont été allumées aux abords de la route sur une distance de 1,5 km...
Il y a lieu de signaler l'allumage du signe amazigh géant sculpté sur une colline à Melbou.