Comme nous ne sommes pas adeptes de la délation, nous aimerions bien que Said Sadi nous décline l'identité du monsieur en veste bleu, assit entre lui et l'islamiste, autour de cette tablée sur la Place Gueydon, le 19 avril 2015 au soir, à la vielle de la marche du 20 avril à Vgayet (PH/DR)
Invité par la chaine BRTV, Said Sadi a été interviewé par Kamal Tarwiht, qui s'est sagement abstenu de questionner son invité sur les alliances angoissantes du RCD et son dévoiement vers une opposition laïco-islamiste. Said Sadi a donc parlé pratiquement de tout sauf de ses alliances avec les islamistes. Il a parlé de la crise berbériste de 49, Imache Amar, Benai Ouali, Messali, Benbella, Abane, Krim, Amirouche, oudjda, MALG, printemps amazigh 80, Ait Ahmed, Ferhat Mehenni et le MAK.
Alors, sagement questionné par Kamel Tarwiht sur l'éventualité de discuter avec le MAK et Ferhat Mehenni, Said Sadi a répondu qu'il était possible de discuter avec ces derniers s'ils arrêtaient les "insultes" et les "invectives" à son égard.
Or, Ferhat Mehenni et le MAK n'ont jamais proféré d'insultes à l'encontre de Said Sadi. En revanche, il est vrai que la rédaction de Siwel a régulièrement dénoncé les dérives laïco-islamistes du RCD pour la simple raison que ce parti est composé quasi exclusivement de Kabyles et qu'ils sont menés, par ces alliances contre nature et suicidaires, vers l'irréparable en ouvrant les portes de la Kabylie à la "fréquentabilité" de l'islamisme et de ses criminels dit "repentis".
Par conséquent, ce que nous reproche Said Sadi, c'est bien la réprobation publique de ses alliances pour le moins contre-nature, autrement dit, la constitution d'une opposition laïco-islamiste avec les partis islamistes d'El Islah, du MSP (Hamas) , d'Ennahdha, du FJD, le parti arabiste de Jil Jadid avec le RCD en guise de caution laïque et démocratique pour mettre en place une "transition démocratique" avec les idéologues du terrorisme islamiste tel que Ali Belhadj et leurs bras armés, les criminels Ali Djeddi, Boukhemkhem, Guemmazi etc...
Or, si Said Sadi et son parti se sentent "insultés" et "invectivés" par l'évocation de ses dérives, il doit alors admettre que ce sont ses propres agissements qui sont des insultes et non pas ceux qui les dénoncent.
Enfin, dans une conférence tenue récemment dans la diaspora kabyle, qu'il appelle pompeusement" l'immigration algérienne" tout en sachant que cette immigration "algérienne" se trouve plutôt du côté des "frères Kouachi", par ailleurs glorifiés par ses nouveaux alliés, Said Sadi, expert dans l'art d'inverser les situation a dit : "Il ne faut pas que le remède soit pire que le mal. On n’est pas là, encore une fois, pour structurer le désespoir. On est là pour construire l’espérance".
Or, si Said Sadi considère que mener le combat de la libération effective de la Kabylie, s'appelle "structurer le désespoir" et que constituer une alliance laïco-islamiste s'appelle "construire l’espérance", c'est que Said Sadi s'est, encore une fois, "trompé de société".
Mis à part cela, Said Sadi et le RCD seront les bienvenus quand ils décideront de se consacrer à sauver la Kabylie de sa mort programmée. A condition, bien sur qu'ils se délestent de leurs alliés et de leurs amis ...
zp,
SIWEL
Alors, sagement questionné par Kamel Tarwiht sur l'éventualité de discuter avec le MAK et Ferhat Mehenni, Said Sadi a répondu qu'il était possible de discuter avec ces derniers s'ils arrêtaient les "insultes" et les "invectives" à son égard.
Or, Ferhat Mehenni et le MAK n'ont jamais proféré d'insultes à l'encontre de Said Sadi. En revanche, il est vrai que la rédaction de Siwel a régulièrement dénoncé les dérives laïco-islamistes du RCD pour la simple raison que ce parti est composé quasi exclusivement de Kabyles et qu'ils sont menés, par ces alliances contre nature et suicidaires, vers l'irréparable en ouvrant les portes de la Kabylie à la "fréquentabilité" de l'islamisme et de ses criminels dit "repentis".
Par conséquent, ce que nous reproche Said Sadi, c'est bien la réprobation publique de ses alliances pour le moins contre-nature, autrement dit, la constitution d'une opposition laïco-islamiste avec les partis islamistes d'El Islah, du MSP (Hamas) , d'Ennahdha, du FJD, le parti arabiste de Jil Jadid avec le RCD en guise de caution laïque et démocratique pour mettre en place une "transition démocratique" avec les idéologues du terrorisme islamiste tel que Ali Belhadj et leurs bras armés, les criminels Ali Djeddi, Boukhemkhem, Guemmazi etc...
Or, si Said Sadi et son parti se sentent "insultés" et "invectivés" par l'évocation de ses dérives, il doit alors admettre que ce sont ses propres agissements qui sont des insultes et non pas ceux qui les dénoncent.
Enfin, dans une conférence tenue récemment dans la diaspora kabyle, qu'il appelle pompeusement" l'immigration algérienne" tout en sachant que cette immigration "algérienne" se trouve plutôt du côté des "frères Kouachi", par ailleurs glorifiés par ses nouveaux alliés, Said Sadi, expert dans l'art d'inverser les situation a dit : "Il ne faut pas que le remède soit pire que le mal. On n’est pas là, encore une fois, pour structurer le désespoir. On est là pour construire l’espérance".
Or, si Said Sadi considère que mener le combat de la libération effective de la Kabylie, s'appelle "structurer le désespoir" et que constituer une alliance laïco-islamiste s'appelle "construire l’espérance", c'est que Said Sadi s'est, encore une fois, "trompé de société".
Mis à part cela, Said Sadi et le RCD seront les bienvenus quand ils décideront de se consacrer à sauver la Kabylie de sa mort programmée. A condition, bien sur qu'ils se délestent de leurs alliés et de leurs amis ...
zp,
SIWEL
Said Sadi et son nouvel allié Ali Djeddi (PH/DR)
L'allaince laïco-islamiste (PH/DR)
se passe de commentaires (PH/DR)