Halte au racisme contre les amazighs sur la terre de leurs ancêtres.(PH/DR/archives)
Une cellule de crise a été mis sur place par les militants du MAK. Nous reproduisons le communiqué dans son intégralité:
Vague d’arrestation en Kabylie : le régime raciste d’Alger réprime à nouveau
dimanche 10 mars 2013
TIMANIT I TMURT N YIQVAYLIYEN
MOUVEMENT POUR L’AUTONOMIE DE LA KABYLIE
Le régime raciste d’Alger, qui a pitoyablement abdiqué face au terrorisme islamiste dont il a scandaleusement amnistié tous les assassins, vient à nouveau de sévir contre la Kabylie pacifique qui use de moyens démocratiques pour se faire entendre.
Les autorités algériennes qui excellent dans la provocation contre la Kabylie, vient de commettre la même erreur qu’il y a de cela plus de 30 ans en interdisant la conférence sur la poésie ancienne kabyle. En Algérie, tout ce qui relève de la Kabylie est du ressort exclusif du ministère de l’intérieur, seul interlocuteur de la Kabylie depuis 1962.
Le Mouvement pour l’autonomie de la Kabylie condamne cette énième agression contre les citoyens kabyles et exige la libération immédiate et inconditionnelle des citoyens, des membres de sa direction, des militantes et militants du MAK, ainsi que de la vice-présidente du CMA, arbitrairement arrêtés par un régime raciste et illégitime qui n’a épargné aucun fléau à la Kabylie.
Pendant que le terrorisme, le banditisme et les kidnappings se produisent régulièrement, et en toute impunité, en Kabylie, les services de police, de gendarmerie et de l’armée réservent leur forces répressives uniquement contre les grèves et les manifestations pacifiques des citoyens kabyles qui revendiquent leurs droits légitimes.
Le MAK rappelle que ces procédés d’un autre âge ne sauraient altérer la détermination du Mouvement à arracher le droit à l’autodétermination de la Kabylie.
Une cellule de crise à été mise en place par les militants du MAK pour arracher, au plus tôt, la libération des citoyens et militants kabyles victimes du racisme d’Etat algérien.
Le MAK appelle les citoyens de Kabylie à se mobiliser et à se constituer en rempart contre la répression et l’arbitraire exercé par le régime raciste d’Alger à l’encontre de la Kabylie et de ses citoyens qui manifestent pacifiquement pour les revendications légitimes de la Kabylie.
La cellule de crise du MAK, Tizi-Ouzou, le 10 mars 2013
Les noms des personnes arrêtées :
Bouaziz Ait-Chebib,
Boussad Becha,
Ahcène Cherifi,
Kamira Nait-Sid,
Hassiba Abassène,
Djaffar Kennane,
Ahcène Graichi,
Abdellah Gherab,
Babaci Sofiane,
Remdhan Bouakkiz,
Said Tisseguine,
Ainsi que cinq citoyens kabyles dont les noms seront communiqués ultérieurement sous réserve de leurs accords.
SIWEL 101311 MARS 13
Vague d’arrestation en Kabylie : le régime raciste d’Alger réprime à nouveau
dimanche 10 mars 2013
TIMANIT I TMURT N YIQVAYLIYEN
MOUVEMENT POUR L’AUTONOMIE DE LA KABYLIE
Le régime raciste d’Alger, qui a pitoyablement abdiqué face au terrorisme islamiste dont il a scandaleusement amnistié tous les assassins, vient à nouveau de sévir contre la Kabylie pacifique qui use de moyens démocratiques pour se faire entendre.
Les autorités algériennes qui excellent dans la provocation contre la Kabylie, vient de commettre la même erreur qu’il y a de cela plus de 30 ans en interdisant la conférence sur la poésie ancienne kabyle. En Algérie, tout ce qui relève de la Kabylie est du ressort exclusif du ministère de l’intérieur, seul interlocuteur de la Kabylie depuis 1962.
Le Mouvement pour l’autonomie de la Kabylie condamne cette énième agression contre les citoyens kabyles et exige la libération immédiate et inconditionnelle des citoyens, des membres de sa direction, des militantes et militants du MAK, ainsi que de la vice-présidente du CMA, arbitrairement arrêtés par un régime raciste et illégitime qui n’a épargné aucun fléau à la Kabylie.
Pendant que le terrorisme, le banditisme et les kidnappings se produisent régulièrement, et en toute impunité, en Kabylie, les services de police, de gendarmerie et de l’armée réservent leur forces répressives uniquement contre les grèves et les manifestations pacifiques des citoyens kabyles qui revendiquent leurs droits légitimes.
Le MAK rappelle que ces procédés d’un autre âge ne sauraient altérer la détermination du Mouvement à arracher le droit à l’autodétermination de la Kabylie.
Une cellule de crise à été mise en place par les militants du MAK pour arracher, au plus tôt, la libération des citoyens et militants kabyles victimes du racisme d’Etat algérien.
Le MAK appelle les citoyens de Kabylie à se mobiliser et à se constituer en rempart contre la répression et l’arbitraire exercé par le régime raciste d’Alger à l’encontre de la Kabylie et de ses citoyens qui manifestent pacifiquement pour les revendications légitimes de la Kabylie.
La cellule de crise du MAK, Tizi-Ouzou, le 10 mars 2013
Les noms des personnes arrêtées :
Bouaziz Ait-Chebib,
Boussad Becha,
Ahcène Cherifi,
Kamira Nait-Sid,
Hassiba Abassène,
Djaffar Kennane,
Ahcène Graichi,
Abdellah Gherab,
Babaci Sofiane,
Remdhan Bouakkiz,
Said Tisseguine,
Ainsi que cinq citoyens kabyles dont les noms seront communiqués ultérieurement sous réserve de leurs accords.
SIWEL 101311 MARS 13