Le MAK, par la voie de son président M. Bouaziz Ait Chebib souligne que « le régime raciste d'Alger redouble de férocité face à la contestation sociale. Après l'interdiction des marches du MAK », il passe à « un autre pallier de la répression qui consiste à violer le droit de grève qui est pourtant garanti par la pseudo-constitution algérienne ».
« Face à des ouvriers, rappelle le MAK, de l’Entreprise de réparation navale de Vgayet, munis de leur seule détermination à faire valoir leurs droits bafoués par la direction de leur entreprise, les services de répression ont recouru à une répression sauvage pour museler toute action de protestation ».
« Ces ouvriers, en grève depuis 2 mois, ont été tabassés devant leur unité par les policiers afin de les empêcher d'observer un sit-in de protestation devant le siège de la wilaya », estime le MAK.
« Les libertés syndicales et le droit de grève sont bafoués au vu et au su de tout le monde par un régime totalitaire qui a érigé l'injustice, la corruption et la violence étatique comme mode de gouvernance depuis l'indépendance confisquée », constate, par ailleurs, le MAK, qui condamne cette « politique répressive et oppressive » et apporte son soutien aux travailleurs de l’entreprise de réparation navale ( Erenav) de Vgayet qui revendiquent la réintégration de leurs syndicalistes licenciés injustement par la direction pour la seule raison d'avoir encadré une marche de protestation pour la titularisation des travailleurs contractuels exerçant depuis plusieurs années au niveau de cette unité.
Pour le MAK " Le régime algérien exploite toutes les ressources et les entreprises dites nationales à son seul profit et use de tous les moyens, y compris criminel pour garantir la pérennité du système politico-mafieux qu’il a mis en place depuis 1962 ; et ce, quel qu’en soit le prix à payer pour les citoyens"
«Désormais, l'avènement d'un Etat Kabyle est plus que jamais une urgence absolue, seule garantie pour le peuple kabyle de se prémunir contre les exactions d’un régime profondément raciste qui programme sa disparition par la combinaison de différents fléaux allant de la répression féroce de toute action pacifique à l’installation et l’entretien du terrorisme, du banditisme, du clientélisme et de la corruption dans le but évident de désintégrer la cohésion sociale de la Kabylie qui a toujours fait sa force face à toutes les vicissitudes que l’Histoire lui a imposé. » conclut le communiqué .
aai
06 1710 FEV 13
« Face à des ouvriers, rappelle le MAK, de l’Entreprise de réparation navale de Vgayet, munis de leur seule détermination à faire valoir leurs droits bafoués par la direction de leur entreprise, les services de répression ont recouru à une répression sauvage pour museler toute action de protestation ».
« Ces ouvriers, en grève depuis 2 mois, ont été tabassés devant leur unité par les policiers afin de les empêcher d'observer un sit-in de protestation devant le siège de la wilaya », estime le MAK.
« Les libertés syndicales et le droit de grève sont bafoués au vu et au su de tout le monde par un régime totalitaire qui a érigé l'injustice, la corruption et la violence étatique comme mode de gouvernance depuis l'indépendance confisquée », constate, par ailleurs, le MAK, qui condamne cette « politique répressive et oppressive » et apporte son soutien aux travailleurs de l’entreprise de réparation navale ( Erenav) de Vgayet qui revendiquent la réintégration de leurs syndicalistes licenciés injustement par la direction pour la seule raison d'avoir encadré une marche de protestation pour la titularisation des travailleurs contractuels exerçant depuis plusieurs années au niveau de cette unité.
Pour le MAK " Le régime algérien exploite toutes les ressources et les entreprises dites nationales à son seul profit et use de tous les moyens, y compris criminel pour garantir la pérennité du système politico-mafieux qu’il a mis en place depuis 1962 ; et ce, quel qu’en soit le prix à payer pour les citoyens"
«Désormais, l'avènement d'un Etat Kabyle est plus que jamais une urgence absolue, seule garantie pour le peuple kabyle de se prémunir contre les exactions d’un régime profondément raciste qui programme sa disparition par la combinaison de différents fléaux allant de la répression féroce de toute action pacifique à l’installation et l’entretien du terrorisme, du banditisme, du clientélisme et de la corruption dans le but évident de désintégrer la cohésion sociale de la Kabylie qui a toujours fait sa force face à toutes les vicissitudes que l’Histoire lui a imposé. » conclut le communiqué .
aai
06 1710 FEV 13