Pour rappel, Djafar Ouahioune a été assassiné le 10 mai 1997, dans son lycée à At-Yanni, par les hordes islamistes, c'est-à-dire ceux qui ont bénéficié de la "Rahma" de Zeroual,puis de la "réconciliation nationale" de Bouteflika. Amnistiés par le régime qui les enfanté, les pauvres "égarés" sont devenus des « repentis » avant de devenir, pour le régime algérien des « personnalités politiques nationales », et pour l’opposition algérienne dite démocratique des « partenaires politiques », c'est dire !
Autrement dit, pour l’Etat colonial arabo-islamique d’Alger, ce qui est un délit, ce n’est pas de commettre des assassinats en masse au nom de l’idéologie arabo-islamique incarné par l'Etat colonial algérien mais bien de rendre hommage aux victimes de cette idéologie barbare.
Il serait peut-être utile de rappeler à la police coloniale algérienne que les militants du MAK qui sont convoqués par leurs agents le sont justement parce qu'ils sont militants du MAK. Il est donc inutile de les questionner sur « leurs liens » avec le MAK, puisque ces liens sont fièrement affichés et pleinement assumés.
Ensuite, concernant le drapeau algérien arraché par des manifestants lors de la marche du 20 Avril dernier, il serait utile de rappeler que ne ce fut pas une action s préméditée mais une simple « réaction » de jeunes manifestants prodigieusement « agacés » par la gigantesque profusion de drapeaux et de petits fanion messalistes qui ont littéralement envahi les villes Tizi-Ouzou, Vgayet et Tuvirett en prévision d'un "parasitage" (mais en vain) de la démonstration de force souverainistes kabyles le 20 avril 2016.
Enfin, concernant l’hommage rendu par le MAK à Djaffar Ouahioun, assassiné par les hordes islamistes le 10 mai 1997, dans son lycée à At-yanni, le MAK précise que les hordes islamistes, « repenties » ou non, ne seront jamais pour lui ni des « personnalités politiques nationales », ni des « partenaires politiques », il est donc tout à fait normal que seul le MAK rende hommage aux victimes de la barbarie arabo-islamique et personne d'autre.
cdb/zp,
SIWEL 181409 JUL 16
Autrement dit, pour l’Etat colonial arabo-islamique d’Alger, ce qui est un délit, ce n’est pas de commettre des assassinats en masse au nom de l’idéologie arabo-islamique incarné par l'Etat colonial algérien mais bien de rendre hommage aux victimes de cette idéologie barbare.
Il serait peut-être utile de rappeler à la police coloniale algérienne que les militants du MAK qui sont convoqués par leurs agents le sont justement parce qu'ils sont militants du MAK. Il est donc inutile de les questionner sur « leurs liens » avec le MAK, puisque ces liens sont fièrement affichés et pleinement assumés.
Ensuite, concernant le drapeau algérien arraché par des manifestants lors de la marche du 20 Avril dernier, il serait utile de rappeler que ne ce fut pas une action s préméditée mais une simple « réaction » de jeunes manifestants prodigieusement « agacés » par la gigantesque profusion de drapeaux et de petits fanion messalistes qui ont littéralement envahi les villes Tizi-Ouzou, Vgayet et Tuvirett en prévision d'un "parasitage" (mais en vain) de la démonstration de force souverainistes kabyles le 20 avril 2016.
Enfin, concernant l’hommage rendu par le MAK à Djaffar Ouahioun, assassiné par les hordes islamistes le 10 mai 1997, dans son lycée à At-yanni, le MAK précise que les hordes islamistes, « repenties » ou non, ne seront jamais pour lui ni des « personnalités politiques nationales », ni des « partenaires politiques », il est donc tout à fait normal que seul le MAK rende hommage aux victimes de la barbarie arabo-islamique et personne d'autre.
cdb/zp,
SIWEL 181409 JUL 16