Mouloud Mebarki (PH/YSN -Siwel)
Une indifférence qui confirme selon le MAK « la complicité, ou plus exactement la responsabilité, du pouvoir algérien qui actionne ses groupes armés (repentis ou non) et ses voyous pour terroriser la Kabylie puisqu’il avait échoué à la normaliser par la corruption et la manipulation ».
« La politique de rapts, qui arrange fort bien l’État raciste d’Alger se poursuit avec une étonnante facilité dans une Kabylie livrée à l’insécurité pour accentuer davantage encore la misère économique et la fuite des investisseurs, étrangers mais aussi kabyles. Le but étant de vider la Kabylie de tout potentiel qui ferait d’elle une région viable », accuse le MAK dans un communiqué signé par son président par intérim Mouloud Mebarki.
« Nous sommes en droit de nous questionner sur les objectifs réels de la présence des forces de sécurité algérienne, en surnombre en Kabylie (armée et gendarmerie confondues), alors que ce sont régulièrement les citoyens kabyles, à travers leurs organisations ancestrales, qui prennent en charge les problèmes sécuritaires engendrés par la calamiteuse politique arabo-islamiste de l’État algérien », a précisé M. Mebarki.
Pour ce mouvement autonomiste, « il est évident que le peuple kabyle ne peut en aucun cas compter sur ce régime raciste, profondément anti-kabyle, qui génère le terrorisme pour assurer son maintien et garantir sa propre sécurité au détriment des citoyens ».
De ce fait, ajoute le communiqué, « le peuple kabyle est en droit et en devoir de revendiquer une intervention des instances internationales afin de mettre un terme à cette politique combinant l’action des terroristes sur le terrain à celle de l’État qui organise le sabotage économique et la répression des forces démocratiques kabyles ».
Dans la matinée du 15 novembre, un cardiologue, Nacer Djellal, a été kidnappé à Ath-Aïssi, à 15 kilomètres au sud de Tizi-Ouzou.
uz
SIWEL 181540 NOV 11
« La politique de rapts, qui arrange fort bien l’État raciste d’Alger se poursuit avec une étonnante facilité dans une Kabylie livrée à l’insécurité pour accentuer davantage encore la misère économique et la fuite des investisseurs, étrangers mais aussi kabyles. Le but étant de vider la Kabylie de tout potentiel qui ferait d’elle une région viable », accuse le MAK dans un communiqué signé par son président par intérim Mouloud Mebarki.
« Nous sommes en droit de nous questionner sur les objectifs réels de la présence des forces de sécurité algérienne, en surnombre en Kabylie (armée et gendarmerie confondues), alors que ce sont régulièrement les citoyens kabyles, à travers leurs organisations ancestrales, qui prennent en charge les problèmes sécuritaires engendrés par la calamiteuse politique arabo-islamiste de l’État algérien », a précisé M. Mebarki.
Pour ce mouvement autonomiste, « il est évident que le peuple kabyle ne peut en aucun cas compter sur ce régime raciste, profondément anti-kabyle, qui génère le terrorisme pour assurer son maintien et garantir sa propre sécurité au détriment des citoyens ».
De ce fait, ajoute le communiqué, « le peuple kabyle est en droit et en devoir de revendiquer une intervention des instances internationales afin de mettre un terme à cette politique combinant l’action des terroristes sur le terrain à celle de l’État qui organise le sabotage économique et la répression des forces démocratiques kabyles ».
Dans la matinée du 15 novembre, un cardiologue, Nacer Djellal, a été kidnappé à Ath-Aïssi, à 15 kilomètres au sud de Tizi-Ouzou.
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