La marche qui a démarré de l'ancienne gare de la ville de Tizi-Wezzu a drainé des centaines de personnes. Soutenu par plusieurs organisations politiques, notamment le Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie (MAK), dont le premier responsable a tenu à être présent aux cotés de ces jeunes délaissés par le pouvoir, ont battu le pavé pour réclamer leurs droits.
Et ce même si le pouvoir, via une association de soutien à Bouteflika, a mis en place une organisation parallèle pour saborder le travail de ces jeunes qui ont combattu, les armes à la main, les hordes terroristes islamistes. Sur leur banderoles, on pouvait lire : "où sont nos droits", "repentis mieux que nous"... A signaler que la marche est tolérée par les autorités.
Arrivée au ront point de la ville, les rappelés ont désigné une délégation qui s'est rendue à la caserne du groupement militaire de la ville pour y déposer une plate-forme de revendication. Les marcheurs se sont dispersés sans problème, car, faut-il le signaler, les forces de répression du régime sont tenues loin de l'itinéraire de la marche.
aai
SIWEL 19 1224 MARS 13
Et ce même si le pouvoir, via une association de soutien à Bouteflika, a mis en place une organisation parallèle pour saborder le travail de ces jeunes qui ont combattu, les armes à la main, les hordes terroristes islamistes. Sur leur banderoles, on pouvait lire : "où sont nos droits", "repentis mieux que nous"... A signaler que la marche est tolérée par les autorités.
Arrivée au ront point de la ville, les rappelés ont désigné une délégation qui s'est rendue à la caserne du groupement militaire de la ville pour y déposer une plate-forme de revendication. Les marcheurs se sont dispersés sans problème, car, faut-il le signaler, les forces de répression du régime sont tenues loin de l'itinéraire de la marche.
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