capture d'écran du site officiel du MNLA (PH/DR)
Dans sa déclaration, le MNLA a tenu a rappeler que « Les fonctionnaires morts au gouvernorat l’ont été pendant les affrontements entre les forces armées maliennes et les forces de l’Azawad », que « les blessés du gouvernorat ont été transportés au camp II pour être soignés par la MINUSMA » et que ces derniers « n’ont fait état d’aucune exécution ». Par ailleurs, le porte-parole du MNLA a également affirmé que « Des notes trouvées dans un journal manuscrit récupéré dans le camp I font état des morts du gouvernorat sans aucune mention d’exécution ».
Le MNLA a par ailleurs rappelé que « les vingt-huit prisonniers du MNLA », capturé lors de la prise du gouvernorat de Kidal « ont été remises à la MINUSMA et au C.I.C.R le 19 Mai 2014 sains et saufs » et « sans aucune contrepartie ». Le MNLA a déclaré que les prisonniers maliens ont été traités « selon les conventions de Genève régissant les prisonniers de guerre » et qu’il en a été de même pour les quatre ( 4 ) blessés « remis au CICR et à la MINUSMA ».
Le MNLA, qui n’a visiblement rien à se reprocher, s’est déclaré « soucieux de rétablir la vérité » et se dit prêt à « accueillir favorablement la venue d’une équipe d’investigation spéciale et se tient à sa disposition pour les besoins de l’enquête ».
Ce qui est particulièrement pénible dans ce conflit qui oppose le MNLA à l’Etat du Mali, c’est que l’Etat malien, dont les exécutions sommaires, les actes de tortures et les assassinats ethniques sont avérés et dûment dénoncés par les organisations internationales des droits de l’homme, n’ont jamais fait l’objet de critiques internationales et encore moins de commission d'enquête.
zp,
SIWEL 271827 MAI 14
Voir la réaction du MNLA sur son site officiel
Le MNLA a par ailleurs rappelé que « les vingt-huit prisonniers du MNLA », capturé lors de la prise du gouvernorat de Kidal « ont été remises à la MINUSMA et au C.I.C.R le 19 Mai 2014 sains et saufs » et « sans aucune contrepartie ». Le MNLA a déclaré que les prisonniers maliens ont été traités « selon les conventions de Genève régissant les prisonniers de guerre » et qu’il en a été de même pour les quatre ( 4 ) blessés « remis au CICR et à la MINUSMA ».
Le MNLA, qui n’a visiblement rien à se reprocher, s’est déclaré « soucieux de rétablir la vérité » et se dit prêt à « accueillir favorablement la venue d’une équipe d’investigation spéciale et se tient à sa disposition pour les besoins de l’enquête ».
Ce qui est particulièrement pénible dans ce conflit qui oppose le MNLA à l’Etat du Mali, c’est que l’Etat malien, dont les exécutions sommaires, les actes de tortures et les assassinats ethniques sont avérés et dûment dénoncés par les organisations internationales des droits de l’homme, n’ont jamais fait l’objet de critiques internationales et encore moins de commission d'enquête.
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SIWEL 271827 MAI 14
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