Le pouvoir arabo-islamiste algérien ne sait plus quoi inventer pour leurrer les citoyens kabyles qui ne se sentent aucunement concernés par les élections locales du 29 novembre, énième mascarade électorale dont la gent d'Alger se sert de faire-valloir, de caution démocratique pour maintenir vis-à-vis du monde entier une démocratie de façade, dont plus personne n'est dupe.
Ainsi, appliquant à la lettre la recommandation du funeste Joseph Goebbels, compagnon d'Adolf Hitler, passé es-maître dans l'art de la propagande : « Plus le mensonge est gros, plus il passe. Plus souvent il est répété, plus le peuple le croit »; les officines algériennes n'hésitent plus, hier, après qu'elles aient fait circuler de fausses informations relatant que plusieurs animateurs du mouvement autonomiste kabyle étaient annoncés comme candidats sur des listes électorales, elles avaient osé faire croire que le militant des droits de l'Homme, l'autonomiste Hocine Azem, serait candidat sur une liste d’un nouveau parti agréé récemment par le pouvoir, alors qu'il n'en est rien.
Aujourd'hui, elles ont fait circuler une information indiquant que le militant infatigable de la cause kabyle, le chanteur engagé à qui l'on doit notamment "Pouvoir assassin" en hommage aux martyrs du Printemps noir de 2001, Oulahlou lui-même, serait en rude campagne pour le compte du parti d'Ahmed Ouyahia, le RND.
Information immédiatement démentie par les proches d'Oulahlou, dont Bouaziz Ait Chebib, le président du mouvement pour l'autonomie de la Kabylie (MAK) qui a déclaré : « nous venons d'avoir Oulahlou au téléphone, il dément catégoriquement cette rumeur visant à le salir. Oulehlou ne roule que pour la Kabylie qu'il porte dans son coeur »
Oulahlou, de son vrai nom Abderrahmane Lahlou, est né le 09 août 1963 à Takorabt, un petit village de Kabylie. Il fait ses premières études à l’école primaire du village puis au collège Jean Amrouche à Ighil-Ali. Après des études secondaires au lycée d’Akbou, il obtient son baccalauréat en 1982.
wbw
SIWEL 122346 NOV 12
Ainsi, appliquant à la lettre la recommandation du funeste Joseph Goebbels, compagnon d'Adolf Hitler, passé es-maître dans l'art de la propagande : « Plus le mensonge est gros, plus il passe. Plus souvent il est répété, plus le peuple le croit »; les officines algériennes n'hésitent plus, hier, après qu'elles aient fait circuler de fausses informations relatant que plusieurs animateurs du mouvement autonomiste kabyle étaient annoncés comme candidats sur des listes électorales, elles avaient osé faire croire que le militant des droits de l'Homme, l'autonomiste Hocine Azem, serait candidat sur une liste d’un nouveau parti agréé récemment par le pouvoir, alors qu'il n'en est rien.
Aujourd'hui, elles ont fait circuler une information indiquant que le militant infatigable de la cause kabyle, le chanteur engagé à qui l'on doit notamment "Pouvoir assassin" en hommage aux martyrs du Printemps noir de 2001, Oulahlou lui-même, serait en rude campagne pour le compte du parti d'Ahmed Ouyahia, le RND.
Information immédiatement démentie par les proches d'Oulahlou, dont Bouaziz Ait Chebib, le président du mouvement pour l'autonomie de la Kabylie (MAK) qui a déclaré : « nous venons d'avoir Oulahlou au téléphone, il dément catégoriquement cette rumeur visant à le salir. Oulehlou ne roule que pour la Kabylie qu'il porte dans son coeur »
Oulahlou, de son vrai nom Abderrahmane Lahlou, est né le 09 août 1963 à Takorabt, un petit village de Kabylie. Il fait ses premières études à l’école primaire du village puis au collège Jean Amrouche à Ighil-Ali. Après des études secondaires au lycée d’Akbou, il obtient son baccalauréat en 1982.
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