Djamel Amrani est accusé d'être l'auteur de la phrase « C'est grâce à nous les Kabyles que vous êtes libres » inscrite sur une banderole brandie par les supporteurs de la Jeunesse Sportive de Kabylie (JSK) le 18 février 2014, durant le match des quarts de finale de la coupe d’Algérie de football contre le club oranais, le MCO
Ce qui avait provoqué la panique à la télévision algérienne qui, n'a pas retransmis 75 premières minutes de la rencontre qui se déroulait au stade de premier novembre de Tizi Wezzu.
Pour les militants kabyles, ce procès est un « procès politique car on a osé remettre en cause l'Histoire officielle de l'Algérie indépendante basée sur le mensonge et la désinformation ».
D'ailleurs, certains n'hésitent pas de préciser qu'il fallait ajouter à la phrase : "... Et que nous, nous ne le sommes pas"
Rappelons qu'il a fallu l’intervention des services de sécurité algériens pour enlever cette banderole "gênante" des écrans de télévision du régime, avant de pouvoir visualiser enfin les dernières minutes de cette rencontre très suivie en Kabylie. Les services de sécurité avaient entamé une enquête pour arrêter les auteurs de cette phrase. "Nous avons reçu l’ordre de ne rien filmer", avait alors affirmé un journaliste d’une chaîne de télévision privée.
Effectivement, c’est grâce aux Kabyles que toute l’Algérie a été libérée du joug colonial français. Jusqu’à 1957, la presse internationale, comme le prouvent bien les documents, ne parlaient que « d’insurrection en Kabylie ». Ce n’est qu’à partir de 1958 qu’on commença à parler de la guerre d’Algérie !
Dans des régions entières de l’Algérie, notamment dans la région ouest dirigée par Boumediene et Boussouf, aucune cartouche n’a été tirée durant toute la période de la guerre de libération. Contrairement à la Kabylie et à l'Aurès. C’est une réalité historique que personne ne peut cacher ou falsifier.
wbw
SIWEL 150602 FEV 15
Ce qui avait provoqué la panique à la télévision algérienne qui, n'a pas retransmis 75 premières minutes de la rencontre qui se déroulait au stade de premier novembre de Tizi Wezzu.
Pour les militants kabyles, ce procès est un « procès politique car on a osé remettre en cause l'Histoire officielle de l'Algérie indépendante basée sur le mensonge et la désinformation ».
D'ailleurs, certains n'hésitent pas de préciser qu'il fallait ajouter à la phrase : "... Et que nous, nous ne le sommes pas"
Rappelons qu'il a fallu l’intervention des services de sécurité algériens pour enlever cette banderole "gênante" des écrans de télévision du régime, avant de pouvoir visualiser enfin les dernières minutes de cette rencontre très suivie en Kabylie. Les services de sécurité avaient entamé une enquête pour arrêter les auteurs de cette phrase. "Nous avons reçu l’ordre de ne rien filmer", avait alors affirmé un journaliste d’une chaîne de télévision privée.
Effectivement, c’est grâce aux Kabyles que toute l’Algérie a été libérée du joug colonial français. Jusqu’à 1957, la presse internationale, comme le prouvent bien les documents, ne parlaient que « d’insurrection en Kabylie ». Ce n’est qu’à partir de 1958 qu’on commença à parler de la guerre d’Algérie !
Dans des régions entières de l’Algérie, notamment dans la région ouest dirigée par Boumediene et Boussouf, aucune cartouche n’a été tirée durant toute la période de la guerre de libération. Contrairement à la Kabylie et à l'Aurès. C’est une réalité historique que personne ne peut cacher ou falsifier.
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SIWEL 150602 FEV 15
Deux poids deux mesures...
Djamel Amrani, le supporter de la JS Kabylie (PH/DR)