Après avoir lâché les terroristes du GIA afin de sillonner la Kabylie dans le but de déraciner le peuple kabyle en instrumentalisant une autre fois de plus la religion, le pouvoir colonial algérien a lâché sa meute policière et voyoucratique pour contrecarrer le MAK.
Cette opération digne de la milice hitlérienne à la veille de la seconde guerre mondiale, remonte à avant hier, soit au cours de la nuit du vendredi 18 mars 2016, la veille de la venue du Bachagha Ould Ali à Tizi Ouzou, une visite considérée comme une agression à l'encontre de la Kabylie.
Cette opération, qui renseigne d’une façon on ne peut plus claire que le pouvoir colonial d’Alger a tout l’air d’une bête aux abois, a porté sur le jet de tracts par dizaines dans les rues de la ville des Genets dont le contenu n’est autre qu’une menace à l’endroit des militantes et militants du MAK.
Il va sans dire que ces menaces sont l’œuvre des laboratoires du régime algérien, ou sinon ce qu’il en reste, et le tirage a été fait également par les machines de ces mêmes laboratoires.
Pris de panique, les rédacteurs de cet appel aux représailles, ont précisé sans se rendre compte qu'il y a un "peuple kabyle" et un "peuple algérien". Décidément ...
Ceux et celles qui défendent le droit, la justice, la vérité et la liberté agissent en plein jour. Les serviteurs d’un régime infamant choisissent la nuit car ils savent bien que leurs agissements incarnent la honte et l’indignité.
Pour les souverainistes kabyles ce tract augure le début de la fin de la domination algérienne en Kabylie. Après les grandioses marches de Yennayer, le régime colonial algérien, a peur de ce que lui réserve les marches du 20 avril qui constitueront une autre grande avancée du peuple kabyle dans la quête de sa liberté.
cdb,
SIWEL 201820 MAR 16
Cette opération digne de la milice hitlérienne à la veille de la seconde guerre mondiale, remonte à avant hier, soit au cours de la nuit du vendredi 18 mars 2016, la veille de la venue du Bachagha Ould Ali à Tizi Ouzou, une visite considérée comme une agression à l'encontre de la Kabylie.
Cette opération, qui renseigne d’une façon on ne peut plus claire que le pouvoir colonial d’Alger a tout l’air d’une bête aux abois, a porté sur le jet de tracts par dizaines dans les rues de la ville des Genets dont le contenu n’est autre qu’une menace à l’endroit des militantes et militants du MAK.
Il va sans dire que ces menaces sont l’œuvre des laboratoires du régime algérien, ou sinon ce qu’il en reste, et le tirage a été fait également par les machines de ces mêmes laboratoires.
Pris de panique, les rédacteurs de cet appel aux représailles, ont précisé sans se rendre compte qu'il y a un "peuple kabyle" et un "peuple algérien". Décidément ...
Ceux et celles qui défendent le droit, la justice, la vérité et la liberté agissent en plein jour. Les serviteurs d’un régime infamant choisissent la nuit car ils savent bien que leurs agissements incarnent la honte et l’indignité.
Pour les souverainistes kabyles ce tract augure le début de la fin de la domination algérienne en Kabylie. Après les grandioses marches de Yennayer, le régime colonial algérien, a peur de ce que lui réserve les marches du 20 avril qui constitueront une autre grande avancée du peuple kabyle dans la quête de sa liberté.
cdb,
SIWEL 201820 MAR 16