Dans un texte parvenu à notre rédaction la Massa Zahra Boukersi a d'abord rectifié le lien familial qu'elle a avec la victime Abdelkrim Hassane : « j'assume pleinement cette déclaration et je n'y apporterai aucun changement, si ce n'est que l'émotion m'a fait faire une erreur, celle de dire que je suis la femme de l'oncle maternel de Louiza Mohamed Said, alors que je suis la femme de son oncle paternel (nous sommes sa seule famille au Québec).
»
Elle a également précisé qu'elle n'a pas mis en cause les services consulaires algériens avant d'expliquer « les personnes qui nous ont exclus et dont je parlais; jusqu'à présent, nous ignorons qui elles sont. C'étaient des personnes, d'après ce que j'ai compris par la suite, qui ne sont même pas d'origine algérienne. Ces gens avaient pris possession de toutes les procédures sans nous en aviser. »
Madame Boukersi a également apporté quelques détails qui renseignent à quel point la famille de la victime a été marginalisée : « nous pensions pouvoir retourner au salon funéraire pour un dernier recueillement avec des proches et des amis auxquels nous avions donné rendez-vous sur place, et c'est le chauffeur de la limousine qui nous avait annoncé que cela ne pouvait se faire car le cercueil allait être transféré à Laval et que la communauté (laquelle???) organisait un repas à la mosquée Al Badr. La veuve de Karim Hassane, son beau frère, leurs proches et nous- mêmes avons préféré rentrer chez nous, déçus et peinés d'avoir été marginalisés. »
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Elle a également précisé qu'elle n'a pas mis en cause les services consulaires algériens avant d'expliquer « les personnes qui nous ont exclus et dont je parlais; jusqu'à présent, nous ignorons qui elles sont. C'étaient des personnes, d'après ce que j'ai compris par la suite, qui ne sont même pas d'origine algérienne. Ces gens avaient pris possession de toutes les procédures sans nous en aviser. »
Madame Boukersi a également apporté quelques détails qui renseignent à quel point la famille de la victime a été marginalisée : « nous pensions pouvoir retourner au salon funéraire pour un dernier recueillement avec des proches et des amis auxquels nous avions donné rendez-vous sur place, et c'est le chauffeur de la limousine qui nous avait annoncé que cela ne pouvait se faire car le cercueil allait être transféré à Laval et que la communauté (laquelle???) organisait un repas à la mosquée Al Badr. La veuve de Karim Hassane, son beau frère, leurs proches et nous- mêmes avons préféré rentrer chez nous, déçus et peinés d'avoir été marginalisés. »