Ferhat Mehenni lors de la commémoration des victimes kabyles du 17 Octobre 1961 à Paris, le 17-10-2010 (PH/SIWEL)
« Tuer nos enfants, tuer nos femmes et nos hommes de renom, tuer notre âme et nos symboles, notre langue et notre identité, notre économie et notre écologie, nos valeurs et notre conscience… », c'est à cela que le président de l'Anavad résume « ces 50 années algériennes » durant lesquelles la Kabylie a été « colonisée, ostracisée, niée, humiliée et réprimée », fustige-til.
Ferhat Mehenni assure que « c’est ce même pouvoir qui s’apprête à fêter ce cinquantenaire qui est le véritable séparatiste, car c’est lui qui, depuis la confiscation de l’indépendance, élargit chaque jour davantage, le fossé entre l’Algérie de plus en plus arabo-islamisée et la Kabylie toujours attachée à ses racines. »
Optimiste pour l'avenir, le président de l'Anavad affirme, dans son communiqué, que « c’est parce que la Kabylie a compris qu’à terme c’est sa mort qui est programmée, par ce régime raciste, qu’elle s’est dotée depuis le 01/06/2010 d’un Gouvernement Provisoire Kabyle, l’ANAVAD ».
Il conclu « qu'aujourd'hui, le peuple kabyle, conscient de ses droits et de ses devoirs, se dresse comme un seul homme pour reconquérir sa liberté ».
mld
SIWEL 061547 JUIL12
Ferhat Mehenni assure que « c’est ce même pouvoir qui s’apprête à fêter ce cinquantenaire qui est le véritable séparatiste, car c’est lui qui, depuis la confiscation de l’indépendance, élargit chaque jour davantage, le fossé entre l’Algérie de plus en plus arabo-islamisée et la Kabylie toujours attachée à ses racines. »
Optimiste pour l'avenir, le président de l'Anavad affirme, dans son communiqué, que « c’est parce que la Kabylie a compris qu’à terme c’est sa mort qui est programmée, par ce régime raciste, qu’elle s’est dotée depuis le 01/06/2010 d’un Gouvernement Provisoire Kabyle, l’ANAVAD ».
Il conclu « qu'aujourd'hui, le peuple kabyle, conscient de ses droits et de ses devoirs, se dresse comme un seul homme pour reconquérir sa liberté ».
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