PH/KAB © Siwel
L’occasion a été, aussi, pour le MAK d’exprimer sa solidarité avec les Amazighs de Libye. Ils étaient en effet, plusieurs centaines de personnes à battre de nouveau le pavé des rues de la ville de Tizi-Ouzou pour dénoncer « l’insécurité en Kabylie » et exprimer le soutien et la solidarité du peuple kabyle aux Amazighs Libyens.
La marche s’est ébranlée aux environs de 11h du carrefour du 20 avril jouxtant l’université de Tizi Ouzou pour arriver à la place de l’ex mairie au centre ville de Tizi-Ouzou.
Tout au long de l’itinéraire de la marche, les manifestants ont brandis les drapeaux kabyles et ont scandé des slogans hostiles au pouvoir d’Alger tels « pouvoir assassins », « halte à l’insécurité en Kabylie », « Kabylie autonome », « non à la militarisation de la Kabylie » étaient entre autres les mots d’ordre de cette nouvelle manifestation de rue du MAK.
Arrivés à la place des victimes du printemps noir, les manifestants, 3000 selon les organisateurs, ont observé une minute de silence à la mémoire de tous les martyrs de la démocratie. Par la suite, c’est au niveau de la grande place de l’ex mairie de Tizi-Ouzou que les cadres du MAK ont pris la parole pour dénoncer la « situation d’embrigadement » que vit la région de Kabylie.
Pour Bouaziz Ait Chebib, secrétaire à l’organique du MAK, « la marche se veut un moyen pour contrecarrer la logique du pouvoir d’Alger. Il faut que le peuple kabyle continue à dire non à la terreur instaurée par le régime algérien. Nous ne voulons ni des terroristes, ni des gendarmes ni des militaires, nous voulons être autonomes et les Kabyles sont capables de se prendre en charge eux-mêmes », a-t-il dit sous les applaudissements de la foule.
Mohand Wamar Hachim est intervenu de son coté pour dénoncer les « manipulations du pouvoir » qui, selon lui, ne « dissuaderont jamais le peuple kabyle de poursuivre le chemin vers son autonomie ». La marche se terminera dans le calme.
kab
SIWEL 191405 SEPT 11
La marche s’est ébranlée aux environs de 11h du carrefour du 20 avril jouxtant l’université de Tizi Ouzou pour arriver à la place de l’ex mairie au centre ville de Tizi-Ouzou.
Tout au long de l’itinéraire de la marche, les manifestants ont brandis les drapeaux kabyles et ont scandé des slogans hostiles au pouvoir d’Alger tels « pouvoir assassins », « halte à l’insécurité en Kabylie », « Kabylie autonome », « non à la militarisation de la Kabylie » étaient entre autres les mots d’ordre de cette nouvelle manifestation de rue du MAK.
Arrivés à la place des victimes du printemps noir, les manifestants, 3000 selon les organisateurs, ont observé une minute de silence à la mémoire de tous les martyrs de la démocratie. Par la suite, c’est au niveau de la grande place de l’ex mairie de Tizi-Ouzou que les cadres du MAK ont pris la parole pour dénoncer la « situation d’embrigadement » que vit la région de Kabylie.
Pour Bouaziz Ait Chebib, secrétaire à l’organique du MAK, « la marche se veut un moyen pour contrecarrer la logique du pouvoir d’Alger. Il faut que le peuple kabyle continue à dire non à la terreur instaurée par le régime algérien. Nous ne voulons ni des terroristes, ni des gendarmes ni des militaires, nous voulons être autonomes et les Kabyles sont capables de se prendre en charge eux-mêmes », a-t-il dit sous les applaudissements de la foule.
Mohand Wamar Hachim est intervenu de son coté pour dénoncer les « manipulations du pouvoir » qui, selon lui, ne « dissuaderont jamais le peuple kabyle de poursuivre le chemin vers son autonomie ». La marche se terminera dans le calme.
kab
SIWEL 191405 SEPT 11