Lors de sa prise de parole, le Président de l'Anavad a renouvelé son appel aux policiers kabyles d'éviter tout excès de zèle durant les arrestations des militants du MAK qui se battent pour l'honneur de tous les kabyles. S'adressant à la France, qui continue de soutenir une Algérie en faillite, Ferhat Mehenni a expliqué que la France est menacée par le terrorisme islamiste fournit par les pays qu'elle a autrefois colonisés. Des pays qu'elle a dépouillé de leurs vrais repères identitaires en instaurant des États totalitaires où, depuis, beaucoup de jeunes deviennent des islamistes et des terroristes. Il est temps de remettre les pendules à l'heure en contribuant au rétablissement de la vérité et de la vraie histoire pour contrer la barbarie et l'obscurantisme religieux émanant de ces régimes despotiques. La Kabylie se bat pour cet idéal. C'est un exemple à suivre. Il Faut miser sur la Kabylie.
Le ministre kabyle des institutions et de la Sécurité, Ahmed Haddag, quant à lui, a exprimé le soutien du MAK-Anavad à Slimane Bouhafs, un chrétien kabyle emprisonné par la justice algérienne pour ses opinions religieuses et au mozabite Kamel-Eddine Fekhar qui est en prison depuis près de 18 mois et actuellement en grève de la faim. Leurs vies sont en danger.
Kamira Naït Sid a souhaité que l'année 2017 sera celle de la liberté de la Kabylie et de tous les peuples Amazighs.
Mohand Ouamar Hachim, lui aussi en séjour en France, lors de son l'intervention remarquable, a précisé qu'en 1962, suite à l'indépendance de l'Algérie, la Kabylie n'a fait que changer de maître.
Après le rassemblement, les militants et militantes souverainistes, dont beaucoup sont venus en famille, se sont retrouvés autour d'un dîner traditionnel et une animation musicale engagée, avec Ali Ideflawen et Amirouche, entre autres.
Le ministre kabyle des institutions et de la Sécurité, Ahmed Haddag, quant à lui, a exprimé le soutien du MAK-Anavad à Slimane Bouhafs, un chrétien kabyle emprisonné par la justice algérienne pour ses opinions religieuses et au mozabite Kamel-Eddine Fekhar qui est en prison depuis près de 18 mois et actuellement en grève de la faim. Leurs vies sont en danger.
Kamira Naït Sid a souhaité que l'année 2017 sera celle de la liberté de la Kabylie et de tous les peuples Amazighs.
Mohand Ouamar Hachim, lui aussi en séjour en France, lors de son l'intervention remarquable, a précisé qu'en 1962, suite à l'indépendance de l'Algérie, la Kabylie n'a fait que changer de maître.
Après le rassemblement, les militants et militantes souverainistes, dont beaucoup sont venus en famille, se sont retrouvés autour d'un dîner traditionnel et une animation musicale engagée, avec Ali Ideflawen et Amirouche, entre autres.