Des milliers de personnes défilent dans les rues de Bilbao, le 22 octobre 2011 (PHOTO: DR)
Le Pays Basque veut une solution, lisait-on sur les banderoles. Partout dans la foule le slogan est le même: “Indépendance”.
En tête du cortège marchaient côte à côte les dirigeants de plusieurs partis de la gauche indépendantiste, de syndicats et de mouvements nationalistes signataires de l'accord de Guernica de 2010 qui avaient demandé à l'ETA "l'abandon définitif de la lutte armée" et avaient appelé à cette marche avant l'annonce de l'ETA. La gauche progressiste qui condamne la violence et privilégie la discussion politique, est largement soutenue par sa base.
Elle réclame le retour au Pays Basque des 700 personnes incarcérées pour des méfaits en rapport avec le terrorisme basque, et qui sont incarcérées aux quatre coins de l’Espagne ou de la France. La revendication n’est pas nouvelle.
Un manifestant interrogé dans la foule a déclaré tout ce que je veux c'est la liberté, le droit à l’autodétermination pour le peuple basque.
cc
SIWEL 23 1223OCT11
En tête du cortège marchaient côte à côte les dirigeants de plusieurs partis de la gauche indépendantiste, de syndicats et de mouvements nationalistes signataires de l'accord de Guernica de 2010 qui avaient demandé à l'ETA "l'abandon définitif de la lutte armée" et avaient appelé à cette marche avant l'annonce de l'ETA. La gauche progressiste qui condamne la violence et privilégie la discussion politique, est largement soutenue par sa base.
Elle réclame le retour au Pays Basque des 700 personnes incarcérées pour des méfaits en rapport avec le terrorisme basque, et qui sont incarcérées aux quatre coins de l’Espagne ou de la France. La revendication n’est pas nouvelle.
Un manifestant interrogé dans la foule a déclaré tout ce que je veux c'est la liberté, le droit à l’autodétermination pour le peuple basque.
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