L’appel du MAK-France pour un rassemblement au pont Saint-Michel ne s’est pas déroulé en effet sans heurts verbaux.
Des insultes et autres provocations verbales ont émaillé ce rassemblement qui a réuni quelques 200 Kabyles mêlés au reste de la foule, a-t-on constaté sur place. Ferhat Mehenni, président du Gouvernement provisoire kabyle, a été empêché même de déposer une gerbe de fleurs par crainte à sa sécurité, disent les militants du MAK.
« Il y a beaucoup de provocations de la part des «algériannistes» et il y avait même une manifestante qui se disait fière d'être une « kabyle de service». On n’a pas voulu laisser passer mass Ferhat pour déposer la gerbe de fleurs, il y avait même une demoiselle qui a tenté de le pousser », raconte un militant du MAK.
Des nationalistes algériens se sont élevés contre la forte présence à ce rassemblement de drapeaux kabyles, alors que les nationalistes algériens avaient, eux, un drapeau palestinien.
D’autres femmes qui travaillent au sein du Consulat algérien à Paris ont perturbé le discours de Ferhat Mehenni. « C’est de la pure provocation », a déploré un militant kabyle. La tension est montée d’un cran quand un Kabyle a agressé un arabophone suite à des insultes de ce dernier traitant les Kabyles de « Harkis ».
uz
SIWEL 172215 OCT 11
Des insultes et autres provocations verbales ont émaillé ce rassemblement qui a réuni quelques 200 Kabyles mêlés au reste de la foule, a-t-on constaté sur place. Ferhat Mehenni, président du Gouvernement provisoire kabyle, a été empêché même de déposer une gerbe de fleurs par crainte à sa sécurité, disent les militants du MAK.
« Il y a beaucoup de provocations de la part des «algériannistes» et il y avait même une manifestante qui se disait fière d'être une « kabyle de service». On n’a pas voulu laisser passer mass Ferhat pour déposer la gerbe de fleurs, il y avait même une demoiselle qui a tenté de le pousser », raconte un militant du MAK.
Des nationalistes algériens se sont élevés contre la forte présence à ce rassemblement de drapeaux kabyles, alors que les nationalistes algériens avaient, eux, un drapeau palestinien.
D’autres femmes qui travaillent au sein du Consulat algérien à Paris ont perturbé le discours de Ferhat Mehenni. « C’est de la pure provocation », a déploré un militant kabyle. La tension est montée d’un cran quand un Kabyle a agressé un arabophone suite à des insultes de ce dernier traitant les Kabyles de « Harkis ».
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SIWEL 172215 OCT 11