François Hollande sur le Pont de Clichy (PHOTO: DR)
Ce lundi, François Hollande, rose à la main, s’est rendu sur le pont de Clichy à Paris pour un hommage symbolique aux morts algériens.
Il était accompagné de l'historien Benjamin Stora et de son conseiller Faouzi Lamdaoui. Il a expliqué que sa présence à ce rendez-vous était prévue depuis longtemps. « Je voulais être là, fidèle à la promesse que j'avais faite. Je suis venu témoigner de ma solidarité aux enfants, petits-enfants de ces familles endeuillées par ce drame », a-t-il déclaré.
« Il faut que la vérité soit dite. Sans repentance, ni mise en accusation particulière », a t-il souligné. « Reconnaître ce qui s’est produit. Aujourd’hui je le fais en tant que socialiste. Ensuite, ce sera sans doute à la République de le faire».
« Nous allons célébrer en 2012 le cinquantième anniversaire de l’indépendance algérienne. Ce sera l’occasion de rappeler ce qu’est le passé. L’Histoire et ses douleurs multiples. Il ne faut pas nous figer dans une commémoration qui sera forcément différente dans l’évocation du souvenir en Algérie et en France. Nous devons être dans une relation de confiance mutuelle et dans la construction de projets communs. Tant de liens humains, culturels et économiques nous unissent », a t-il dit enfin pour conclure.
cc
SIWEL 171612 OCT 11
Il était accompagné de l'historien Benjamin Stora et de son conseiller Faouzi Lamdaoui. Il a expliqué que sa présence à ce rendez-vous était prévue depuis longtemps. « Je voulais être là, fidèle à la promesse que j'avais faite. Je suis venu témoigner de ma solidarité aux enfants, petits-enfants de ces familles endeuillées par ce drame », a-t-il déclaré.
« Il faut que la vérité soit dite. Sans repentance, ni mise en accusation particulière », a t-il souligné. « Reconnaître ce qui s’est produit. Aujourd’hui je le fais en tant que socialiste. Ensuite, ce sera sans doute à la République de le faire».
« Nous allons célébrer en 2012 le cinquantième anniversaire de l’indépendance algérienne. Ce sera l’occasion de rappeler ce qu’est le passé. L’Histoire et ses douleurs multiples. Il ne faut pas nous figer dans une commémoration qui sera forcément différente dans l’évocation du souvenir en Algérie et en France. Nous devons être dans une relation de confiance mutuelle et dans la construction de projets communs. Tant de liens humains, culturels et économiques nous unissent », a t-il dit enfin pour conclure.
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