Le dalaï-lama à la Maison-Blanche, en février 2010. PHOTO (Tim Sloan / AFP)
Suite au communiqué de la Maison Blanche annonçant que le président Barack Obama recevra samedi le dalaï-lama, le ministère chinois des Affaires étrangères a demandé à Washington « d'annuler immédiatement sa décision d'arranger une rencontre entre le président Obama et le dalaï lama ».
« Les Etats-Unis doivent rester fidèles à leur engagement de reconnaître que le Tibet fait partie de la Chine », a annoncé le porte-parole du ministère chinois, Hong Lei, exigeant que Washington « n'interfère pas dans les affaires intérieures chinoises »et ne fasse rien qui puisse « nuire aux relations sino-américaines ».
« Nous sommes fermement opposés à ce qu'un quelconque responsable politique étranger rencontre le dalaï lama sous quelque forme que ce soit, » insiste le porte parole du ministère chinois.
Le dalaï lama , en exil depuis 1959 après l'échec d'un soulèvement contre la présence chinoise au Tibet, assure qu'il ne réclame pour son pays qu'une autonomie réelle. Mais Pékin accuse le chef spirituel des Tibétains de rechercher l'indépendance du "Toit du monde".
cc
SIWEL 161254 JUIL11
« Les Etats-Unis doivent rester fidèles à leur engagement de reconnaître que le Tibet fait partie de la Chine », a annoncé le porte-parole du ministère chinois, Hong Lei, exigeant que Washington « n'interfère pas dans les affaires intérieures chinoises »et ne fasse rien qui puisse « nuire aux relations sino-américaines ».
« Nous sommes fermement opposés à ce qu'un quelconque responsable politique étranger rencontre le dalaï lama sous quelque forme que ce soit, » insiste le porte parole du ministère chinois.
Le dalaï lama , en exil depuis 1959 après l'échec d'un soulèvement contre la présence chinoise au Tibet, assure qu'il ne réclame pour son pays qu'une autonomie réelle. Mais Pékin accuse le chef spirituel des Tibétains de rechercher l'indépendance du "Toit du monde".
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