Le dispositif Berkhane en image ( Photo/RFI)
Avec l’Opération Barkhane, la France va déployer une « Force antiterroriste » de 3 000 hommes, avec un contingent de 1 000 hommes à Gao, dans l’Azawad, et 1 200 hommes au Tchad. Cette nouvelle opération militaire reprend à son compte les méthodes actuelles de l'armée américaine pour éviter de mettre en danger la vie des militaires français.
Place à la « guerre chirurgicale », comme en Irak du temps de Bush. Finies les opérations d'envergure avec des colonnes de blindés avec des soldats français dedans ! Désormais, la « lutte contre le terrorisme » va reposer sur des équipes réduites, sur le renseignement, les écoutes et … les drones !
Par ailleurs, les commandos français seront appuyés par des avions de chasse avec des moyens (de renseignements, d’écoutes et de drones) plus importants. Pour cela, des bases avancées ont été mises en service à Tessalit, dans l’Azawad, et à Madama, à l'extrême nord du Niger, toujours en pays Touareg, et enfin à Faya-Largeau, au Tchad ; et ce, avec la bénédiction du président Idriss Deby qui doit bien cela à la France qui l’a installé sur le « trône » de la présidence et qui sait si bien détourner le regard des sujets qui fâchent le président tchadien mais aussi ses homologues africains, les honorables présidents « démocratiquement élus » …. dans les salons du Quai d’Orsay !
« L’opération Barkhane » sera dirigée depuis le nouveau quartier-général français de Ndjamena par le général Palasset qui succède au général général Foucaud. Ndjamena devient ainsi le centre de commandement militaire français pour toute la bande Sahelo-Saharienne.
Niamey sera le centre dédié au renseignement. Ouagadougou, restera le pôle des Forces spéciales françaises et les « points d’appuis », où seront présents seulement quelques dizaines de militaires français, seront répartis sur plusieurs bases militaires françaises avec une base à Tessalit, en territoire touareg dans l’Azawad, à 50 kms de la frontière algérienne, une base à Madama, dans l’Azawagh, toujours en territoire Touareg au nord du Niger, près de la frontière libyenne, et une base à Faya-Largeau au Tchad.
En terme de moyens matériel, l'opération Barkhane comptera 20 hélicoptères, 200 véhicules blindés, 10 avions de transport tactique et stratégique, 6 avions de chasse et 3 drones au redoutable nom de « reaper », ce qui signifie « faucheuse » …
Le détachement « air », établi à Niamey, au Niger, joue un rôle central dans l’opération Barkhane qui a été « installée » la semaine dernière par le président François Hollande, lors de sa mini-tournée dans ses « anciennes » colonies africaines.
Source RFI
Place à la « guerre chirurgicale », comme en Irak du temps de Bush. Finies les opérations d'envergure avec des colonnes de blindés avec des soldats français dedans ! Désormais, la « lutte contre le terrorisme » va reposer sur des équipes réduites, sur le renseignement, les écoutes et … les drones !
Par ailleurs, les commandos français seront appuyés par des avions de chasse avec des moyens (de renseignements, d’écoutes et de drones) plus importants. Pour cela, des bases avancées ont été mises en service à Tessalit, dans l’Azawad, et à Madama, à l'extrême nord du Niger, toujours en pays Touareg, et enfin à Faya-Largeau, au Tchad ; et ce, avec la bénédiction du président Idriss Deby qui doit bien cela à la France qui l’a installé sur le « trône » de la présidence et qui sait si bien détourner le regard des sujets qui fâchent le président tchadien mais aussi ses homologues africains, les honorables présidents « démocratiquement élus » …. dans les salons du Quai d’Orsay !
« L’opération Barkhane » sera dirigée depuis le nouveau quartier-général français de Ndjamena par le général Palasset qui succède au général général Foucaud. Ndjamena devient ainsi le centre de commandement militaire français pour toute la bande Sahelo-Saharienne.
Niamey sera le centre dédié au renseignement. Ouagadougou, restera le pôle des Forces spéciales françaises et les « points d’appuis », où seront présents seulement quelques dizaines de militaires français, seront répartis sur plusieurs bases militaires françaises avec une base à Tessalit, en territoire touareg dans l’Azawad, à 50 kms de la frontière algérienne, une base à Madama, dans l’Azawagh, toujours en territoire Touareg au nord du Niger, près de la frontière libyenne, et une base à Faya-Largeau au Tchad.
En terme de moyens matériel, l'opération Barkhane comptera 20 hélicoptères, 200 véhicules blindés, 10 avions de transport tactique et stratégique, 6 avions de chasse et 3 drones au redoutable nom de « reaper », ce qui signifie « faucheuse » …
Le détachement « air », établi à Niamey, au Niger, joue un rôle central dans l’opération Barkhane qui a été « installée » la semaine dernière par le président François Hollande, lors de sa mini-tournée dans ses « anciennes » colonies africaines.
Source RFI