Le MAK anime un meeting sur les lieux où Abdelmalek Sellal fut chassé !
Le slogan « le combat continue » est sur la bonne voie au sein du Mouvement pour l’Autodétermination de la Kabylie (MAK). La meilleure preuve est cette prise de parole de Kahina Mebarki, la propre fille du président du conseil national, Mouloud Mebarki, lors du meeting organisé par le MAK, dans l’après-midi de lundi, à l’esplanade de la maison de la culture Taos Amrouche de Bgayet. Cette dernière veut, d’ores et déjà, assurer la relève de son père, présent parmi la délégation du MAK. C’est au nom du conseil universitaire de Bgayet que celle-ci interviendra.
Elle mettra en garde contre l’instrumentalisation de la Kabylie par les divers clans du pouvoir mafieux d’Alger en cette période trouble d’élection présidentielle laquelle intervient à la veille de la commémoration du printemps amazigh et du printemps noir. « Le 20 avril, lancera-t-elle à l’adresse des jeunes, qui doivent rester vigilants, constitue un repère fondamental à la Kabylie dans le recouvrement de son identité, de sa culture et de sa civilisation alors que le printemps noir rappelle que les corps constitués de l’état algérien tuent la jeunesse kabyle sans que personne ne lui vienne en aide ». « Les étudiants de Bgayet, soulignera-t-elle, refusent que la Kabylie serve à nouveau de terrain de jeu aux luttes de pouvoir et la jeunesse kabyle, en général, doit se concentrer sur sa propre émancipation dans un cadre exclusivement kabyle et amazigh ».
Elle conclut son intervention en appelant à une marche le 20 avril pour exiger le droit du peuple kabyle à son autodétermination, pour soutenir le peuple amazigh du Mzab qui subit l’apartheid du régime raciste d’Alger et enfin pour exiger l’annulation immédiate du contrat portant exploitation du gaz schiste de Bgayet.
Lui emboitant le pas, Farid Djennadi, secrétaire général du MAK, lancera tout de go que la Kabylie ne cautionnera jamais le jeu trouble d’Alger. « Elle a choisi, rajoutera-t-il, la voie de la liberté et elle se concrétisera par un état souverain quel que soit le prix à payer ».
D’ailleurs, pour ce dernier, l’état algérien n’a jamais programmé de projets économiques pour la Kabylie notamment depuis la venue de Bouteflika. Bien au contraire, il y a eu la construction de l’une des plus grandes prisons d’Afrique à Oued Ghir, d’une caserne à Remila et l’installation d’une quarantaine de campements militaires au niveau du littoral kabyle. « Bien plus grave, soulignera l’orateur, la machine destructrice de la région a été mise en marche à travers la réalisation d’un stade sur un terrain agricole comme si le foncier faisait autant défaut dans la région pour qu’on puisse confisquer les terres qui nourrissent la région. »
Il rappellera à l’assistance que l’état kabyle a existé bien avant celui d’Algérie qui, par ailleurs, a été créé par la France laquelle est restée politiquement présente en Algérie malgré son départ militaire en 1962. En appelant à une marche grandiose pour le 20 avril, le secrétaire général du MAK expliquera que par cette action, les kabyles prouveront encore une fois qu’ils tiennent à leur indépendance.
Le président du MAK, Bouaziz Ait Chebib, abondera dans le même sens et s’attaquera aux multiples télévisions algériennes qui accusent le MAK d’être manipulé par l’étranger alors que l’état algérien est, lui-même, dirigé par la France et le clan d’Oujda. « D’ailleurs, c’est François Hollande dit François Arabie, qui a imposé Bouteflika pour un 4e mandat tout en agréant l’association de malfaiteurs constituée par les dirigeants d’Alger ».
Ainsi donc avant les marches du 20 avril programmées à Bgayet, Tuviret et Tizi Wezzu, le MAK a organisé une série de meetings à travers la Kabylie. Dans la matinée du lundi, c’est à Barbacha qu’un meeting a été animé alors que depuis le début du mois, les villes de Tizi n’Berber, Melbou, Raffour et Iwadiyen ont reçu des dirigeants du MAK qui y ont animées des meetings en attendant celui de ce mardi à Michelet et At Vouâli ( At Mansour).
Siwel avec Tamurt
Elle mettra en garde contre l’instrumentalisation de la Kabylie par les divers clans du pouvoir mafieux d’Alger en cette période trouble d’élection présidentielle laquelle intervient à la veille de la commémoration du printemps amazigh et du printemps noir. « Le 20 avril, lancera-t-elle à l’adresse des jeunes, qui doivent rester vigilants, constitue un repère fondamental à la Kabylie dans le recouvrement de son identité, de sa culture et de sa civilisation alors que le printemps noir rappelle que les corps constitués de l’état algérien tuent la jeunesse kabyle sans que personne ne lui vienne en aide ». « Les étudiants de Bgayet, soulignera-t-elle, refusent que la Kabylie serve à nouveau de terrain de jeu aux luttes de pouvoir et la jeunesse kabyle, en général, doit se concentrer sur sa propre émancipation dans un cadre exclusivement kabyle et amazigh ».
Elle conclut son intervention en appelant à une marche le 20 avril pour exiger le droit du peuple kabyle à son autodétermination, pour soutenir le peuple amazigh du Mzab qui subit l’apartheid du régime raciste d’Alger et enfin pour exiger l’annulation immédiate du contrat portant exploitation du gaz schiste de Bgayet.
Lui emboitant le pas, Farid Djennadi, secrétaire général du MAK, lancera tout de go que la Kabylie ne cautionnera jamais le jeu trouble d’Alger. « Elle a choisi, rajoutera-t-il, la voie de la liberté et elle se concrétisera par un état souverain quel que soit le prix à payer ».
D’ailleurs, pour ce dernier, l’état algérien n’a jamais programmé de projets économiques pour la Kabylie notamment depuis la venue de Bouteflika. Bien au contraire, il y a eu la construction de l’une des plus grandes prisons d’Afrique à Oued Ghir, d’une caserne à Remila et l’installation d’une quarantaine de campements militaires au niveau du littoral kabyle. « Bien plus grave, soulignera l’orateur, la machine destructrice de la région a été mise en marche à travers la réalisation d’un stade sur un terrain agricole comme si le foncier faisait autant défaut dans la région pour qu’on puisse confisquer les terres qui nourrissent la région. »
Il rappellera à l’assistance que l’état kabyle a existé bien avant celui d’Algérie qui, par ailleurs, a été créé par la France laquelle est restée politiquement présente en Algérie malgré son départ militaire en 1962. En appelant à une marche grandiose pour le 20 avril, le secrétaire général du MAK expliquera que par cette action, les kabyles prouveront encore une fois qu’ils tiennent à leur indépendance.
Le président du MAK, Bouaziz Ait Chebib, abondera dans le même sens et s’attaquera aux multiples télévisions algériennes qui accusent le MAK d’être manipulé par l’étranger alors que l’état algérien est, lui-même, dirigé par la France et le clan d’Oujda. « D’ailleurs, c’est François Hollande dit François Arabie, qui a imposé Bouteflika pour un 4e mandat tout en agréant l’association de malfaiteurs constituée par les dirigeants d’Alger ».
Ainsi donc avant les marches du 20 avril programmées à Bgayet, Tuviret et Tizi Wezzu, le MAK a organisé une série de meetings à travers la Kabylie. Dans la matinée du lundi, c’est à Barbacha qu’un meeting a été animé alors que depuis le début du mois, les villes de Tizi n’Berber, Melbou, Raffour et Iwadiyen ont reçu des dirigeants du MAK qui y ont animées des meetings en attendant celui de ce mardi à Michelet et At Vouâli ( At Mansour).
Siwel avec Tamurt