Quelques hommes et de nombreuses femmes étaient en tenues traditionnelles kabyles. De nombreux drapeaux nationaux kabyles ont embelli la place Léon Blum, les chansons de Matoub, de Ferhat, d’Idir ont égayé le public.
Après avoir écouté l’hymne national kabyle, les responsables et organisateurs Nora, Boualem et Kader se sont succédés au micro pour expliquer cet évènement et rendre hommage au martyrs de la cause kabyle notamment Ameziane Mehenni, Lounes Matoub. Les trois intervenants ont rappelé au public l’oppression du régime colonial algérien sur le peuple Kabyle et son entêtement à vouloir le dépersonnaliser. Ils ont réaffirmé la volonté et la détermination de la Kabylie de s’affranchir du joug de l’Algérie arabo-islamiste.
Un vibrant hommage aussi a été rendu à Hervé Gourdel et aux victimes de l'islamo-terrorisme ici en France, notamment les deux policiers J.-B. Salvaing et J. Schneider assassinés cette semaine. Puis les artistes chanteurs Smail, Ghani et Ali Nouali ont fredonné quelques chansons engagées qui ont rappelé au public les périodes du militantisme kabyle des années 90.
Vers 18h30, le rassemblement a pris fin.
Après avoir écouté l’hymne national kabyle, les responsables et organisateurs Nora, Boualem et Kader se sont succédés au micro pour expliquer cet évènement et rendre hommage au martyrs de la cause kabyle notamment Ameziane Mehenni, Lounes Matoub. Les trois intervenants ont rappelé au public l’oppression du régime colonial algérien sur le peuple Kabyle et son entêtement à vouloir le dépersonnaliser. Ils ont réaffirmé la volonté et la détermination de la Kabylie de s’affranchir du joug de l’Algérie arabo-islamiste.
Un vibrant hommage aussi a été rendu à Hervé Gourdel et aux victimes de l'islamo-terrorisme ici en France, notamment les deux policiers J.-B. Salvaing et J. Schneider assassinés cette semaine. Puis les artistes chanteurs Smail, Ghani et Ali Nouali ont fredonné quelques chansons engagées qui ont rappelé au public les périodes du militantisme kabyle des années 90.
Vers 18h30, le rassemblement a pris fin.
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Poursuivi depuis 2 jours, Massinissa Aylimas vient d'être arrêté par les autorités coloniales (mis à jour)