Un militant du parti marocain islamiste Justice et Développement distribue des tracts, le 22 novembre 2011 (PHOTO : DR)
Les élections devraient voir les islamistes du Parti de la justice et du développement (PJD) et une coalition de partis proches du pouvoir tirer leur épingle du jeu.
Cependant, la principale interrogation concerne le taux de participation dans le contexte de boycott lancé par le Mouvement du 20-Février pour la démocratie au Maroc.
Selon l'organisation de défense des droits de l'Homme Human Rights Watch, les autorités marocaines auraient interpellé depuis le 20 octobre une centaine de militants favorables au boycott. « La convocation de nombreux partisans du boycott dans les postes de police pour les interroger constitue une politique de harcèlement de la part de l’État », a dénoncé mercredi Sarah Leah Whitson, directrice de HRW pour le Moyen-Orient.
cc
SIWEL 251402 NOV 11
Cependant, la principale interrogation concerne le taux de participation dans le contexte de boycott lancé par le Mouvement du 20-Février pour la démocratie au Maroc.
Selon l'organisation de défense des droits de l'Homme Human Rights Watch, les autorités marocaines auraient interpellé depuis le 20 octobre une centaine de militants favorables au boycott. « La convocation de nombreux partisans du boycott dans les postes de police pour les interroger constitue une politique de harcèlement de la part de l’État », a dénoncé mercredi Sarah Leah Whitson, directrice de HRW pour le Moyen-Orient.
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