Moins de la moitié donc des 13 millions de Marocains inscrits sur les listes électorales ont jugé utile de se déplacer aux urnes pour élire 395 députés à la première chambre du Parlement.
Le taux de participation et le score que réalisera le Parti de la justice et du développement (PJD, islamiste modéré) étaient les principaux enjeux de cette élection qui devait donner du crédit aux réformes initiées en juillet par le roi Mohamed VI. Quelque 4 000 observateurs marocains et étrangers sont présents pour superviser le déroulement du scrutin qualifié d'« historique » par le gouvernement dans 38.000 bureaux de vote.
Un taux de participation de 34% a été enregistré à 17h00 avait annoncé le ministère de l'intérieur marocain. A 10h00 un taux de 4% avait été rendu public alors qu'à midi, la même source avait avancé un taux de 11,5% à midi. Plusieurs dépassements ont été signalés par différents candidats.
Des incidents ont émaillé le vote d'aujourd'hui. A Nador, des dizaines d'étudiants ont interdit l'ouverture d'un bureau de vote à l'intérieur de l'université alors qu'à Fès, des affrontements entre les partisans de deux candidats ont fait 5 blessés, a-t-on appris de sources sûres. Le Mouvement du 20 février avait appelé au boycott.
uz
SIWEL 252225 NOV 11
Le taux de participation et le score que réalisera le Parti de la justice et du développement (PJD, islamiste modéré) étaient les principaux enjeux de cette élection qui devait donner du crédit aux réformes initiées en juillet par le roi Mohamed VI. Quelque 4 000 observateurs marocains et étrangers sont présents pour superviser le déroulement du scrutin qualifié d'« historique » par le gouvernement dans 38.000 bureaux de vote.
Un taux de participation de 34% a été enregistré à 17h00 avait annoncé le ministère de l'intérieur marocain. A 10h00 un taux de 4% avait été rendu public alors qu'à midi, la même source avait avancé un taux de 11,5% à midi. Plusieurs dépassements ont été signalés par différents candidats.
Des incidents ont émaillé le vote d'aujourd'hui. A Nador, des dizaines d'étudiants ont interdit l'ouverture d'un bureau de vote à l'intérieur de l'université alors qu'à Fès, des affrontements entre les partisans de deux candidats ont fait 5 blessés, a-t-on appris de sources sûres. Le Mouvement du 20 février avait appelé au boycott.
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SIWEL 252225 NOV 11