Abdelilah Benkirane, Chef du Gouvernement islamiste marocain, en compagnie de salafistes notoires dont le takfiriste Nafaâ (PH/DR)
Le gouvernement islamiste de Benkirane, ouvertement hostile aux peuples amazighs, voit d'un mauvais œil tout rapprochement entre les peuples amazighs et tente par ce geste de "court-circuiter" le soutien de la diplomatie marocaine qui ne relève visiblement pas de ses prérogatives, au vu du soutien franc et sans ambages du représentant permanent du Maroc auprès de l'ONU quant au droit à l'autodétermination de la Kabylie lors de la 70ème session de l'Assemblée Générale de l'ONU, le 27/10/2015.
Pour rappel, Benkirane a plus d'une fois fait preuve de mépris envers les peuples amazighs. C'est ainsi qu'en 2013, en pleine session du parlement marocain, le chef du gouvernement islamiste est intervenu pour dire que "les Amazighs sont des gens simples qui mangent peu et passent leur temps à danser et chanter au rythme du bendir", pour revenir à la charge en 2016, en se moquant des Amazighs de Souss en les traitant "d'avares et de radins".
Par ailleurs, faisant fi de "l’officialisation de tamazight" le Gouvernement arabo-islamiste de Benkirane refuse toujours d'appliquer les cahiers de charges obligeant théoriquement les TV et radios publiques marocaines à répartir équitablement le volume horaire et à garantir la diversité linguistique et culturelle au niveau des émissions télévisuelles.
Par la voix de l'activiste amazigh Mounir Kejji, le Festival Timitar d'Agadir a vigoureusement dénoncé le racisme anti-amazigh des autorités marocaines. Soulevant la stupéfaction des présents parmi lesquels on note la présence du ministre Aziz Akhannouch, du Wali et du président de région, Mounir kejji a en effet fait une brillante intervention dans laquelle il a soulevé le refus du consulat du Maroc à Villemomble en France d'octroyer le visa au président de l'Anavad en dénonçant l'attitude des autorités marocaines.
Toutefois, M. Ferhat Mehenni a envoyé aux organisateurs sa contribution intitulée "Kabylie : des revendications identitaires et culturelles au droit à l'autodétermination".
zp/wbw
SIWEL 162130 JUL 16
Pour rappel, Benkirane a plus d'une fois fait preuve de mépris envers les peuples amazighs. C'est ainsi qu'en 2013, en pleine session du parlement marocain, le chef du gouvernement islamiste est intervenu pour dire que "les Amazighs sont des gens simples qui mangent peu et passent leur temps à danser et chanter au rythme du bendir", pour revenir à la charge en 2016, en se moquant des Amazighs de Souss en les traitant "d'avares et de radins".
Par ailleurs, faisant fi de "l’officialisation de tamazight" le Gouvernement arabo-islamiste de Benkirane refuse toujours d'appliquer les cahiers de charges obligeant théoriquement les TV et radios publiques marocaines à répartir équitablement le volume horaire et à garantir la diversité linguistique et culturelle au niveau des émissions télévisuelles.
Par la voix de l'activiste amazigh Mounir Kejji, le Festival Timitar d'Agadir a vigoureusement dénoncé le racisme anti-amazigh des autorités marocaines. Soulevant la stupéfaction des présents parmi lesquels on note la présence du ministre Aziz Akhannouch, du Wali et du président de région, Mounir kejji a en effet fait une brillante intervention dans laquelle il a soulevé le refus du consulat du Maroc à Villemomble en France d'octroyer le visa au président de l'Anavad en dénonçant l'attitude des autorités marocaines.
Toutefois, M. Ferhat Mehenni a envoyé aux organisateurs sa contribution intitulée "Kabylie : des revendications identitaires et culturelles au droit à l'autodétermination".
zp/wbw
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