Capture d'écran du site officiel du Mouvement national de libération de l'Azawad. (PH/DR)
Dans un communiqué rendu public sur son site officiel, le MNLA revient sur la prise de Ménaka par ses unités militaires. La déclaration signée de son porte parole Mossa Ag Attaher précise que « Le MNLA a entrepris et réussi seul la sécurisation de Ménaka sans aucune aide ni soutien d’aucune force engagée dans la lutte contre le terrorisme » signifiant ainsi « qu’ils ne bénéficient d’aucun soutien international » alors qu’ils sont « la seule force en présence sur le terrain susceptible de garantir efficacement la sécurité des citoyens et la lutte contre le terrorisme sur un territoire qu’il maitrise parfaitement pour peu qu’on lui en donne les moyens ». Mossa Ag Attaher étaye cette affirmation en soulignant le fait que la ville de Gao « a essuyé une attaque terroriste en plein centre de la ville » alors que « les villes contrôlées par le MNLA n’ont enregistrées aucune présence terroriste » prouvant ainsi que si on veut réellement combattre le terrorisme islamiste, le MNLA est incontournable.
D'autre part, la déclaration dénonce les exactions maliennes sur les civils azawadiens qui se poursuivent toujours « en toute impunité » dans les villes sous contrôle malien et ce « Malgré l’indignation internationale » souligne le communiqué du MNLA qui appelle « la communauté internationale à exercer un contrôle sur les patrouilles de l’armée malienne qui continuent à se venger sur les civils Azawadiens»
Le communiqué précise que « La liste des exactions ne cesse de s’allonger » et que le MNLA « n’envisage aucunement de collaborer avec l’armée malienne tant que celle-ci poursuit ses exactions sur les civils et tant qu’aucune ouverture de négociation politique n’intervient entre le MNLA et le gouvernement malien sous garantie internationale ».
Le mouvement des laïcs Touaregs, attend de la communauté internationale et des forces engagées dans la crise malienne qu’ils réagissent » aux appels aux meurtres publié par la presse malienne » et « qu’ils en tirent les conclusions qui s’imposent » étant donné que les publications n’ont suscité « aucune réaction des autorités maliennes signifiant par ce laxisme qu’ils autorisent en toute légalité la presse malienne à lancer des appels publics au meurtre » souligne le communiqué.
Le dernier point soulevé par le communiqué du MNLA est la force d’interposition onusienne, proposée notamment par le vice-président américain lors d’une visite à Paris. Le MNLA déclare «souscrire totalement à la mise en place d’une force d’interposition dans le cadre du déploiement d’une opération de maintien de la paix sous casques bleus afin de parer aux massacres collectifs qui se dessinent » et appelle « l’ONU, le Conseil de sécurité ainsi que la France, présente sur le terrain, à garantir la sécurité et la protection des populations Azawadiennes soumise à la vengeance de l’armée malienne »
zp,
SIWEL 081635 FEV 13
L'intégralité du communiqué en pièce jointe
D'autre part, la déclaration dénonce les exactions maliennes sur les civils azawadiens qui se poursuivent toujours « en toute impunité » dans les villes sous contrôle malien et ce « Malgré l’indignation internationale » souligne le communiqué du MNLA qui appelle « la communauté internationale à exercer un contrôle sur les patrouilles de l’armée malienne qui continuent à se venger sur les civils Azawadiens»
Le communiqué précise que « La liste des exactions ne cesse de s’allonger » et que le MNLA « n’envisage aucunement de collaborer avec l’armée malienne tant que celle-ci poursuit ses exactions sur les civils et tant qu’aucune ouverture de négociation politique n’intervient entre le MNLA et le gouvernement malien sous garantie internationale ».
Le mouvement des laïcs Touaregs, attend de la communauté internationale et des forces engagées dans la crise malienne qu’ils réagissent » aux appels aux meurtres publié par la presse malienne » et « qu’ils en tirent les conclusions qui s’imposent » étant donné que les publications n’ont suscité « aucune réaction des autorités maliennes signifiant par ce laxisme qu’ils autorisent en toute légalité la presse malienne à lancer des appels publics au meurtre » souligne le communiqué.
Le dernier point soulevé par le communiqué du MNLA est la force d’interposition onusienne, proposée notamment par le vice-président américain lors d’une visite à Paris. Le MNLA déclare «souscrire totalement à la mise en place d’une force d’interposition dans le cadre du déploiement d’une opération de maintien de la paix sous casques bleus afin de parer aux massacres collectifs qui se dessinent » et appelle « l’ONU, le Conseil de sécurité ainsi que la France, présente sur le terrain, à garantir la sécurité et la protection des populations Azawadiennes soumise à la vengeance de l’armée malienne »
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SIWEL 081635 FEV 13
L'intégralité du communiqué en pièce jointe