Les travaux du séminaire ont été ouverts par une allocution de l’inoxydable Arezki About qui a déclaré devant les militants de la LADDH, du MAK et CMA que « la formation/action des militants doit être une valeur cardinale pour tous les responsables d’organisations qui veulent léguer un projet pour la postérité » en insistant sur « le lien transgénérationnel pour perpétuer les valeurs sur lesquelles beaucoup de militantes et de militants ont fait don de leurs vies avec abnégation et vaillance tant dans les tribunaux que dans les pénitenciers de triste mémoire des régimes successifs en Algérie ».
En cédant le « flambeau » à Hocine Azem qui appartient naturellement à la nouvelle génération, ce dernier n’a pas manqué de souligner l’apport de la génération de 80 tout en mettant l’accent sur la reprise du combat en faveur du projet assumé par la génération de 2001 en rupture avec le système hostile à toutes les initiatives pragmatiques issues de la Kabylie.
Sans transition Hocine Azem a commencé sa communication sur le concept du lobbying par une définition : « Le lobbying peut être défini comme la mise en oeuvre d'une stratégie d'influence du processus décisionnel public par un groupement d'intérêt privé - "lobby" - issu de la sphère économique ou sociétale. En tant que processus, le lobbying intègre nécessairement la veille, l'intelligence économique et l'influence proprement dite aux travers de différents canaux (relations presses, relations publiques et relations institutionnelles). » En ajoutant que les techniques du lobbying restent une technique de communication importante pour les acteurs de la société civile qui escomptent transformer leur société dans un cadre pacifique.
Abordant sans encombre un second axe de son intervention qui est : les stratégies d’influence du lobbying en soulignant : « L'influence est le pouvoir de modifier le comportement d'un individu ou groupe d'individu en faveur de ses intérêts sans avoir recours à la menace ou contrainte physique. Au niveau politique, la mise en oeuvre d'une stratégie d'influence d'un groupement privé sur la sphère publique peut être appelé lobbying.»
En concluant dans un autre axe de sa communication en mettant en exergue ce qui est appelée : « L'intelligence économique qui peut être définie comme l'activité de recherche, de traitement et de diffusion de l'information. Dans sa dernière phase, qui présume une capacité d'influence au travers de la diffusion stratégique de l'information, l'intelligence économique peut s'intégrer dans une démarche de lobbying. »
Hocine Azem avait exhorté les cadres associatifs à s’intéresser aux techniques du lobbying pour apporter des solutions pacifiques aux problèmes complexes qui se posent dans la société auxquels les acteurs du mouvement associatif doivent faire face avec des méthodes pragmatiques dans l’esprit du dialogue, la culture des Droits de l’homme et le sens des responsabilités en dehors de toutes contingences.
Abb
En cédant le « flambeau » à Hocine Azem qui appartient naturellement à la nouvelle génération, ce dernier n’a pas manqué de souligner l’apport de la génération de 80 tout en mettant l’accent sur la reprise du combat en faveur du projet assumé par la génération de 2001 en rupture avec le système hostile à toutes les initiatives pragmatiques issues de la Kabylie.
Sans transition Hocine Azem a commencé sa communication sur le concept du lobbying par une définition : « Le lobbying peut être défini comme la mise en oeuvre d'une stratégie d'influence du processus décisionnel public par un groupement d'intérêt privé - "lobby" - issu de la sphère économique ou sociétale. En tant que processus, le lobbying intègre nécessairement la veille, l'intelligence économique et l'influence proprement dite aux travers de différents canaux (relations presses, relations publiques et relations institutionnelles). » En ajoutant que les techniques du lobbying restent une technique de communication importante pour les acteurs de la société civile qui escomptent transformer leur société dans un cadre pacifique.
Abordant sans encombre un second axe de son intervention qui est : les stratégies d’influence du lobbying en soulignant : « L'influence est le pouvoir de modifier le comportement d'un individu ou groupe d'individu en faveur de ses intérêts sans avoir recours à la menace ou contrainte physique. Au niveau politique, la mise en oeuvre d'une stratégie d'influence d'un groupement privé sur la sphère publique peut être appelé lobbying.»
En concluant dans un autre axe de sa communication en mettant en exergue ce qui est appelée : « L'intelligence économique qui peut être définie comme l'activité de recherche, de traitement et de diffusion de l'information. Dans sa dernière phase, qui présume une capacité d'influence au travers de la diffusion stratégique de l'information, l'intelligence économique peut s'intégrer dans une démarche de lobbying. »
Hocine Azem avait exhorté les cadres associatifs à s’intéresser aux techniques du lobbying pour apporter des solutions pacifiques aux problèmes complexes qui se posent dans la société auxquels les acteurs du mouvement associatif doivent faire face avec des méthodes pragmatiques dans l’esprit du dialogue, la culture des Droits de l’homme et le sens des responsabilités en dehors de toutes contingences.
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