Vidéo 1 : Brutalités de la police algérienne contre de jeunes Kabyles à Tizi-Wezzu le 20/04/2014 vers 17h30
Dans cette vidéo tournée ce dimanche 20 avril 2014 vers 17h30 (GMT+0), une dizaine de jeunes Kabyles dont le seul tort était de manifester pacifiquement, comme ils le font depuis 34 ans... pour rendre hommage aux martyrs des printemps kabyles, se font tabasser, matraquer, gifler et passés à tabac par des hordes de policiers algériens dont la haine du Kabyle ne saurait expliquer à elle seule un tel degré de cruauté.
L'on reconnait bien là la tactique des forces de répression algériennes : chaque manifestant est rapidement interpellé par au moins trois policiers.
Notons que même le président du Mouvement pour l'autodétermination de la Kabylie (MAK) ayant appelé à ces marches à travers toute la Kabylie, Bouaziz Ait Chebib, a été blessé à la jambe par ces mêmes policiers qui l'ont ciblé lors des émeutes qui ont éclaté suite à l'interdiction de la marche de Tizi-Wezzu.
Tels des chiens enragés, des policiers anti-émeutes en tenue réglementaire des forces de sécurité algériennes et d'autres en civil (cf ci-dessous le policier en chemise à carreaux et celui en blouson noir traînant la victime), distribuent des coups à satiété aux Kabyles, dont Jugurtha, un militant du MAK, gisant sur la route, torse nu, immobile, inconscient pour ce qu'il paraît à moins qu'il ne soit déjà mort, sans pitié, un policier en uniforme le roue de violents coups de pied dans le ventre, avant que deux policiers en civil ne le traînent à bout de bras, sa tête raclant le bitume... pour certainement le cacher des regards et le faire disparaître dans leur engin garé non loin de là (cf photo A)
Ce lynchage s'est déroulé dans la ville de Tizi-Wezzu, rue des Frères Touabi, dans le quartier dit de La Tour, devant le laboratoire de radiologie "Yaker" (sis cité Boudiaf - 2000 logements) dont on distingue bien la façade à 22 secondes du début de la vidéo, on y voit notamment l'espace "parking" à droite et le commissariat de police est tout proche de cet endroit.
Par cette violence à l'occasion d'une date phare de l'existence du peuple kabyle manifestant pacifiquement depuis 34 ans pour rendre hommage aux siens qui s'étaient sacrifié pour la liberté, la démocratie et la laïcité et la survie de sa langue et de sa culture, le clan de Bouteflika ont mis à exécution leur menace pour punir les Kabyles pour les avoir chassé de Kabylie lors de la campagne présidentielle et boycotté les urnes le jour du vote, Amara Benyounes, le plus honni des préposés à l’animation électorale du candidat Bouteflika n'avait-il pas menacé depuis Tizi-Wezzu « On s’expliquera après le 17 avril » ?
wbw
SIWEL 210210 AVR 14
L'on reconnait bien là la tactique des forces de répression algériennes : chaque manifestant est rapidement interpellé par au moins trois policiers.
Notons que même le président du Mouvement pour l'autodétermination de la Kabylie (MAK) ayant appelé à ces marches à travers toute la Kabylie, Bouaziz Ait Chebib, a été blessé à la jambe par ces mêmes policiers qui l'ont ciblé lors des émeutes qui ont éclaté suite à l'interdiction de la marche de Tizi-Wezzu.
Tels des chiens enragés, des policiers anti-émeutes en tenue réglementaire des forces de sécurité algériennes et d'autres en civil (cf ci-dessous le policier en chemise à carreaux et celui en blouson noir traînant la victime), distribuent des coups à satiété aux Kabyles, dont Jugurtha, un militant du MAK, gisant sur la route, torse nu, immobile, inconscient pour ce qu'il paraît à moins qu'il ne soit déjà mort, sans pitié, un policier en uniforme le roue de violents coups de pied dans le ventre, avant que deux policiers en civil ne le traînent à bout de bras, sa tête raclant le bitume... pour certainement le cacher des regards et le faire disparaître dans leur engin garé non loin de là (cf photo A)
Ce lynchage s'est déroulé dans la ville de Tizi-Wezzu, rue des Frères Touabi, dans le quartier dit de La Tour, devant le laboratoire de radiologie "Yaker" (sis cité Boudiaf - 2000 logements) dont on distingue bien la façade à 22 secondes du début de la vidéo, on y voit notamment l'espace "parking" à droite et le commissariat de police est tout proche de cet endroit.
Par cette violence à l'occasion d'une date phare de l'existence du peuple kabyle manifestant pacifiquement depuis 34 ans pour rendre hommage aux siens qui s'étaient sacrifié pour la liberté, la démocratie et la laïcité et la survie de sa langue et de sa culture, le clan de Bouteflika ont mis à exécution leur menace pour punir les Kabyles pour les avoir chassé de Kabylie lors de la campagne présidentielle et boycotté les urnes le jour du vote, Amara Benyounes, le plus honni des préposés à l’animation électorale du candidat Bouteflika n'avait-il pas menacé depuis Tizi-Wezzu « On s’expliquera après le 17 avril » ?
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SIWEL 210210 AVR 14
On retrouve le policier algérien en civil (blouson noir) traînant le jeune kabyle par le bras droit, juste après la séquence de la vidéo 1, photo prise par une autre source depuis un autre angle
Photo A : Policiers algériens se conduisant comme des sauvages sur le corps d'un Kabyle (PH/Tigzirt TV)
Vidéo 2 : Le policier algérien en civil (chemise à carreaux bleus et blancs) dans la vidéo 1 est aussi visible dans cette vidéo 2 prise à Tizi-Wezzu le 20/04/2014 vers 11h
Croisement des vidéos 1 et 2
Photo B : Croisement des vidéos 1 et 2
Photo C : Croisement de la vidéo 1 et de la photo A
Photo C : Croisement de la vidéo 1 et de la photo A
Preuves supplémentaires que la vidéo 1 était bel et bien filmée à Tizi-Wezzu en Kabylie ce 20 avril 2014 et non en Tunisie, comme tentent de désinformer certains relais du pouvoir arabo-islamiste algérien sur les réseaux sociaux...
Photo D : Localisation du policier algérien en civil (chemise à carreaux) en face de la Tour Bleue (La CAAT), Nouvelle Ville de Tizi-Wezzu (PH/DR)
Photo E : Situation de la Tour Bleue (La CAAT), Nouvelle Ville de Tizi-Wezzu (PH/DR)