Les correspondants collaborateurs qui n’ont pas vu leur nom figurer sur la liste transmise par l’association affichent leur mécontentement et veulent interpeller qui de droit pour que les choses se fassent sans aucune marginalisation.
Un jeune qui travaille comme conventionné dans un quotidien arabophone nous a contacté pour dénoncer la manière avec laquelle ont été choisis les postulants à titre de correspondants permanents alors que sur la liste on retrouve selon lui des personnes qui travaillent dans d’autres secteurs mais exerçant accessoirement le métier de journaliste comme un ancien directeur d’école actuellement retraité qui est mentionné dans la liste comme journaliste titulaire. Le même cas s’applique sur un enseignant qui travaille parallèlement comme pigiste au journal El Khabar, et un autre fonctionnaire à la direction de la formation professionnelle qui est collaborateur au quotidien le jour d’Algérie.
On se demande quels sont les critères qui ont permis à ces super-collaborateurs de presse de s’imposer sur la liste alors que d’autres qui ont réellement le statut, une quarantaine environs, ont été écartés. « On nous chante le critère de la titularisation dans la presse et que ces trois personnes peuvent ramener des attestations et des fiches de paies alors qu’ils ne sont pas permanents dans la corporation. Si ils font ce geste, cela sera très grave car comment se faire délivrer de tels documents ? de manière frauduleuse ? On ne va pas rester les bras croisés pour faux et usage de faux », fulmine notre interlocuteuR;
FAM
SIWEL 26 1256 MAI 13
Un jeune qui travaille comme conventionné dans un quotidien arabophone nous a contacté pour dénoncer la manière avec laquelle ont été choisis les postulants à titre de correspondants permanents alors que sur la liste on retrouve selon lui des personnes qui travaillent dans d’autres secteurs mais exerçant accessoirement le métier de journaliste comme un ancien directeur d’école actuellement retraité qui est mentionné dans la liste comme journaliste titulaire. Le même cas s’applique sur un enseignant qui travaille parallèlement comme pigiste au journal El Khabar, et un autre fonctionnaire à la direction de la formation professionnelle qui est collaborateur au quotidien le jour d’Algérie.
On se demande quels sont les critères qui ont permis à ces super-collaborateurs de presse de s’imposer sur la liste alors que d’autres qui ont réellement le statut, une quarantaine environs, ont été écartés. « On nous chante le critère de la titularisation dans la presse et que ces trois personnes peuvent ramener des attestations et des fiches de paies alors qu’ils ne sont pas permanents dans la corporation. Si ils font ce geste, cela sera très grave car comment se faire délivrer de tels documents ? de manière frauduleuse ? On ne va pas rester les bras croisés pour faux et usage de faux », fulmine notre interlocuteuR;
FAM
SIWEL 26 1256 MAI 13