Au moment où un nouveau groupe armé algérien, les "Soldats du califat", a annoncé qu'il rompait avec Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et prêtait serment d'allégeance à l'Etat islamique (EI) : "Vous avez au Maghreb islamique des hommes qui obéiront à vos ordres", a déclaré Gouri Abdelmalek, alias Khaled Abou Souleïmane, dans un communiqué diffusé sur des sites internet djihadistes, à l'adresse d'Abou Bakr al Baghdadi, le "calife" de l'EI.
Les États-Unis ont annoncé que plus de 40 pays participeraient, d'une manière ou d'une autre, à la coalition contre les jihadistes de l'État islamique (EI, ex-Daech).
Sur cette quarantaine de pays, 28 sont nommés dans un décompte fourni par le département d'État.
D'autres (12) collaboreront discrètement dans divers domaines : diplomatie, renseignement, assistance militaire, lutte contre le recrutement et les réseaux financiers de l'EI.
- 1) États-Unis
- 2) Canada
- 3) France
- 4) Royaume-Uni
- 5) Australie
- 6) Allemagne
- 7) Italie
- 8) Albanie
- 9) Pologne
- 10) Danemark
- 11) Estonie
- 12) Norvège
- 13) Espagne
- 14) Irlande
- 15) Luxembourg
- 16) Turquie
- 17) Suisse
- 18) Japon
- 19) la Nouvelle-Zélande,
- 20) la Hongrie
- 21) la Corée du Sud
- 22) Arabie saoudite
- 23) Egypte
- 24) Koweït
- 25) Les Émirats arabes unis
- 26) Bahreïn
- 27) Koweït
- 28) Qatar
Quant à l'Iran, le régime aide et conseille les Kurdes irakiens contre les jihadistes, mais assure qu'il ne coordonnera pas ses actions avec les États-Unis, de même que Washington a rejeté d'emblée toute coopération avec Téhéran. La Syrie de Bachar el-Assad est aussi persona non grata dans la coalition.
Le secrétaire d'Etat US a quitté en soirée le Caire pour Paris où il participera lundi à une conférence internationale sur l’Irak axée sur la lutte contre la menace grandissante de ce groupe extrémiste sunnite qui occupe de larges pans de territoire en Irak et en Syrie, où il se livre à de multiples exactions -viols, exécutions, persécutions.
wbw
SIWEL 132111 SEP 14
Les États-Unis ont annoncé que plus de 40 pays participeraient, d'une manière ou d'une autre, à la coalition contre les jihadistes de l'État islamique (EI, ex-Daech).
Sur cette quarantaine de pays, 28 sont nommés dans un décompte fourni par le département d'État.
D'autres (12) collaboreront discrètement dans divers domaines : diplomatie, renseignement, assistance militaire, lutte contre le recrutement et les réseaux financiers de l'EI.
- 1) États-Unis
- 2) Canada
- 3) France
- 4) Royaume-Uni
- 5) Australie
- 6) Allemagne
- 7) Italie
- 8) Albanie
- 9) Pologne
- 10) Danemark
- 11) Estonie
- 12) Norvège
- 13) Espagne
- 14) Irlande
- 15) Luxembourg
- 16) Turquie
- 17) Suisse
- 18) Japon
- 19) la Nouvelle-Zélande,
- 20) la Hongrie
- 21) la Corée du Sud
- 22) Arabie saoudite
- 23) Egypte
- 24) Koweït
- 25) Les Émirats arabes unis
- 26) Bahreïn
- 27) Koweït
- 28) Qatar
Quant à l'Iran, le régime aide et conseille les Kurdes irakiens contre les jihadistes, mais assure qu'il ne coordonnera pas ses actions avec les États-Unis, de même que Washington a rejeté d'emblée toute coopération avec Téhéran. La Syrie de Bachar el-Assad est aussi persona non grata dans la coalition.
Le secrétaire d'Etat US a quitté en soirée le Caire pour Paris où il participera lundi à une conférence internationale sur l’Irak axée sur la lutte contre la menace grandissante de ce groupe extrémiste sunnite qui occupe de larges pans de territoire en Irak et en Syrie, où il se livre à de multiples exactions -viols, exécutions, persécutions.
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