Intervenants au cours de la première journée de la CNK (Photo : Siwel)
Une centaine d'invités de divers horizons ont participé aux travaux de ce premier jour : d'anciens élus ainsi que des élus en poste, des représentants du corps médical, des enseignants de tamazight, des journalistes ainsi que des cadres du Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie en leur qualité d'organisateurs.
De nombreux intervenants ont insisté sur la nécessité de doter la Kabylie d'une autonomie régionale. Pour arriver à cet objectif, ils ont mis l'accent sur l'impératif de dialoguer avec les deux partis politiques dominant les institutions locales élues en l'occurrence le FFS de Hocine Aït Ahmed et le RCD de Saïd Sadi. « Il faut savoir ce qu'on veut. Nous demeurons l'un des derniers peuples restés sous le joug de l'Etat central », a déclaré un intervenant, membre du Conseil national du MAK et ancien délégué du mouvement citoyen.
« Une fois que nous serons autonomes, nous ne serons pas moins Algériens », a-t-il ajouté.
Le Mouvement du MAK a regretté l'absence des représentants du FFS et du RCD à cette convention alors qu'ils avaient été invités.
ysn
SIWEL 011653 AVR 11
De nombreux intervenants ont insisté sur la nécessité de doter la Kabylie d'une autonomie régionale. Pour arriver à cet objectif, ils ont mis l'accent sur l'impératif de dialoguer avec les deux partis politiques dominant les institutions locales élues en l'occurrence le FFS de Hocine Aït Ahmed et le RCD de Saïd Sadi. « Il faut savoir ce qu'on veut. Nous demeurons l'un des derniers peuples restés sous le joug de l'Etat central », a déclaré un intervenant, membre du Conseil national du MAK et ancien délégué du mouvement citoyen.
« Une fois que nous serons autonomes, nous ne serons pas moins Algériens », a-t-il ajouté.
Le Mouvement du MAK a regretté l'absence des représentants du FFS et du RCD à cette convention alors qu'ils avaient été invités.
ysn
SIWEL 011653 AVR 11