La titularisation des contractuels, l’unification des primes et des indemnités pour avoir des salaires décents et, surtout, la refonte du statut de la fonction publique sont, apparemment, les principales revendications des protestataires, à en juger par les écriteaux des banderoles brandies par les travailleurs de la quarantaine de municipalités représentées.
Ces employés du secteur des collectivités locales demandent, tout simplement, une revalorisation de leurs salaires à travers une augmentation des différentes primes notamment celle relative à l’allocation familiale, à la femme au foyer et de l’indemnité des agents de l’État civil. Pour être plus clairs, ils demandent l’abrogation de l’article 87 bis qui inclut toutes les indemnités dans le salaire de base, faisant des primes des éléments de salaire à imposer.
Dans leurs différentes interventions, les syndicalistes ont rappelé la promesse du gouvernement d’Alger de fixer le salaire minimum à 18.000 dinars par mois alors qu’il subsiste des employés municipaux qui ne perçoivent que 14 à 16.000 dinars par mois.
Avant d’organiser cette marche suivie d’un sit-in, les travailleurs des communes ont organisé, au préalable, trois journées de grève qui se sont soldées par des retards pour les candidats libres au baccalauréat qui doivent déposer leurs dossiers avant le 18 novembre, dépourvus de quelques documents administratifs, et aux citoyens, dans leur ensemble, qui se sont retrouvés avec leurs ordures ménagères abandonnées devant leurs maisons trois journées durant.
Source: Tamurt
Ces employés du secteur des collectivités locales demandent, tout simplement, une revalorisation de leurs salaires à travers une augmentation des différentes primes notamment celle relative à l’allocation familiale, à la femme au foyer et de l’indemnité des agents de l’État civil. Pour être plus clairs, ils demandent l’abrogation de l’article 87 bis qui inclut toutes les indemnités dans le salaire de base, faisant des primes des éléments de salaire à imposer.
Dans leurs différentes interventions, les syndicalistes ont rappelé la promesse du gouvernement d’Alger de fixer le salaire minimum à 18.000 dinars par mois alors qu’il subsiste des employés municipaux qui ne perçoivent que 14 à 16.000 dinars par mois.
Avant d’organiser cette marche suivie d’un sit-in, les travailleurs des communes ont organisé, au préalable, trois journées de grève qui se sont soldées par des retards pour les candidats libres au baccalauréat qui doivent déposer leurs dossiers avant le 18 novembre, dépourvus de quelques documents administratifs, et aux citoyens, dans leur ensemble, qui se sont retrouvés avec leurs ordures ménagères abandonnées devant leurs maisons trois journées durant.
Source: Tamurt