Le palais Bourbon à Paris, siège de l'Assemblee nationale française (PH/DR)
46 millions de Français étaient appelés aujourd'hui dimanche 10 juin, à voter au premier tour de leurs élections législatives.
Le taux de participation au premier tour ne dépasserait pas 60%. Le taux d'abstention final pour ce premier tour est estimé entre 40 et 42,9%, atteignant ainsi un niveau record.
Selon les prévisions des différents instituts de sondage et les premiers résultats partiels à la sortie des urnes -fermeture des bureaux de vote à 18H et à 20H dans les grandes villes-, le PS pourrait à lui seul raffler entre 283 et 319 sièges après le second tour, la majorité absolue nécessitant 289 sièges.
Le second tour, prévu dimanche 17 juin prochain, aura à trancher parmi les différents ballotages, duels ou triangulaires ; à savoir que si aucun des candidats en lice n'est élu dès le premier tour (avec 50% + 1 voix), les candidats ayant au moins 12,5% des voix auront à se confronter lors du second tour.
François Hollande (PS), le tout nouveau président français élu le 6 mai dernier, avait besoin pour mener à bien ses réformes en appliquant le programme pour lequel il avait été élu, a besoin de disposer d'une majorité à l'Assemblée nationale française, la chambre basse, pour éviter des blocages ou tout simplement ne pas avoir à subir une éventuelle cohabitation avec un premier ministre de droite (UMP).
A noter que le chef de Gouvernement, Jean-Marc Ayrault, lui même candidat à ces législatives - il a été élu dès le 1er tour à Nantes -, avait instauré une règle pour ses ministres, si un ministre qui s'est porté candidat à ces législatives n'était pas élu, il devra quitter le gouvernement. 24 des 35 ministres du gouvernement français étaient candidats, certains sont ce soir soit élus, soit réélus, les autres sont en ballotage favorable.
Le Parlement français formé des deux chambres, la haute et la basse, sera détenu par la gauche, une première dans l'histoire de la Ve République fondée en 1958. Le Sénat, la haute assemblée avait basculé à gauche en septembre 2011.
wbw
SIWEL 102005 JUIN 12
Le taux de participation au premier tour ne dépasserait pas 60%. Le taux d'abstention final pour ce premier tour est estimé entre 40 et 42,9%, atteignant ainsi un niveau record.
Selon les prévisions des différents instituts de sondage et les premiers résultats partiels à la sortie des urnes -fermeture des bureaux de vote à 18H et à 20H dans les grandes villes-, le PS pourrait à lui seul raffler entre 283 et 319 sièges après le second tour, la majorité absolue nécessitant 289 sièges.
Le second tour, prévu dimanche 17 juin prochain, aura à trancher parmi les différents ballotages, duels ou triangulaires ; à savoir que si aucun des candidats en lice n'est élu dès le premier tour (avec 50% + 1 voix), les candidats ayant au moins 12,5% des voix auront à se confronter lors du second tour.
François Hollande (PS), le tout nouveau président français élu le 6 mai dernier, avait besoin pour mener à bien ses réformes en appliquant le programme pour lequel il avait été élu, a besoin de disposer d'une majorité à l'Assemblée nationale française, la chambre basse, pour éviter des blocages ou tout simplement ne pas avoir à subir une éventuelle cohabitation avec un premier ministre de droite (UMP).
A noter que le chef de Gouvernement, Jean-Marc Ayrault, lui même candidat à ces législatives - il a été élu dès le 1er tour à Nantes -, avait instauré une règle pour ses ministres, si un ministre qui s'est porté candidat à ces législatives n'était pas élu, il devra quitter le gouvernement. 24 des 35 ministres du gouvernement français étaient candidats, certains sont ce soir soit élus, soit réélus, les autres sont en ballotage favorable.
Le Parlement français formé des deux chambres, la haute et la basse, sera détenu par la gauche, une première dans l'histoire de la Ve République fondée en 1958. Le Sénat, la haute assemblée avait basculé à gauche en septembre 2011.
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SIWEL 102005 JUIN 12