L'homme de lettres se dit convaincu que la Kabylie, tôt ou tard, vaincra : il suffit d'avoir en ligne de mire "l'idéal de la liberté".
Voilà le texte qu'il a publié suite à l'arrestation, hier, d'une dizaine de militants alors qu'ils participaient au rassemblent en soutien aux détenus politiques d'At Mzab, à Slimane Bouhafs et au blogueur Marzouk Touati, entre autres victimes de l'injustice du régime algérien :
« A toute action pacifique qu'organisent les militants du MAK, même quand il ne s'agit que de revendiquer légitimement les libertés confisquées, le régime algérien répond par la violence, et par d'autres confiscations et restrictions. Dans sa folle course à sa dérive certaine, le régime des despotes, oublie à chaque fois que nul ne peut arrêter l'oxygène.
Ajouter à ces graves atteintes, le silence complice de quelques forces soi-disant démocratiques et la myopie des intellectuels de façade, incapables de souffler mot devant des dépassements, qui demain, pourront leur être lentilles à leurs pupilles.
Vive Le MAK, et que vive tout être aspirant à la liberté, l'honneur et la dignité. »
Rappelons-le que le romancier déjà apporté son soutien publiquement et à à plusieurs reprises aux militants pacifiques du MAK quand ces derniers faisaient l'objet de la répression.
Ci-dessous une citation de l'auteur des romans « Confession criminelle » et « L'autre moi ou la résurrection »
Voilà le texte qu'il a publié suite à l'arrestation, hier, d'une dizaine de militants alors qu'ils participaient au rassemblent en soutien aux détenus politiques d'At Mzab, à Slimane Bouhafs et au blogueur Marzouk Touati, entre autres victimes de l'injustice du régime algérien :
« A toute action pacifique qu'organisent les militants du MAK, même quand il ne s'agit que de revendiquer légitimement les libertés confisquées, le régime algérien répond par la violence, et par d'autres confiscations et restrictions. Dans sa folle course à sa dérive certaine, le régime des despotes, oublie à chaque fois que nul ne peut arrêter l'oxygène.
Ajouter à ces graves atteintes, le silence complice de quelques forces soi-disant démocratiques et la myopie des intellectuels de façade, incapables de souffler mot devant des dépassements, qui demain, pourront leur être lentilles à leurs pupilles.
Vive Le MAK, et que vive tout être aspirant à la liberté, l'honneur et la dignité. »
Rappelons-le que le romancier déjà apporté son soutien publiquement et à à plusieurs reprises aux militants pacifiques du MAK quand ces derniers faisaient l'objet de la répression.
Ci-dessous une citation de l'auteur des romans « Confession criminelle » et « L'autre moi ou la résurrection »