Le chef de l’État algérien Abdelaziz Bouteflika (Photo Rio — SIWEL)
« La position de l'Algérie nous a étonnés vu que les deux peuples algérien et libyen entretiennent des relations profondes et consolidées dans la lutte et le combat communs », a affirmé le président du CNT dans un entretien réalisé à Benghazi par la chaîne marocaine "Médi 1 TV" et diffusé dimanche soir.
« Nous nous attendions à voir le peuple algérien jouer un rôle plus actif, mais les politiciens ou les militaires avaient une opinion différente », a-t-il déploré.
La position algérienne vis-à-vis de la situation en Libye a fait l'objet de sévères critiques aussi bien sur le plan interne qu'à l'étranger. Plusieurs observateurs estiment qu'Alger a accentué son isolement régional en refusant de reconnaitre le CNT comme représentant légitime du peuple libyen.
Le porte-parole militaire du CNT, le colonel Ahmed Omar Bani avait exprimé récemment le mécontentement des responsables libyens de la position algérienne.
« Nous avons prouvé au monde que nous méritons d'être reconnus et les pays puissants l'ont fait, les autres, nous n'attendons pas leur reconnaissance. Un jour viendra où ils devront répondre de leur attitude vis-à-vis des révolutionnaires libyens », a-t-il déclaré, en faisant allusion notamment à l'Algérie lors d'un point de presse à Benghazi.
nn
SIWEL 031321 OCT 11
« Nous nous attendions à voir le peuple algérien jouer un rôle plus actif, mais les politiciens ou les militaires avaient une opinion différente », a-t-il déploré.
La position algérienne vis-à-vis de la situation en Libye a fait l'objet de sévères critiques aussi bien sur le plan interne qu'à l'étranger. Plusieurs observateurs estiment qu'Alger a accentué son isolement régional en refusant de reconnaitre le CNT comme représentant légitime du peuple libyen.
Le porte-parole militaire du CNT, le colonel Ahmed Omar Bani avait exprimé récemment le mécontentement des responsables libyens de la position algérienne.
« Nous avons prouvé au monde que nous méritons d'être reconnus et les pays puissants l'ont fait, les autres, nous n'attendons pas leur reconnaissance. Un jour viendra où ils devront répondre de leur attitude vis-à-vis des révolutionnaires libyens », a-t-il déclaré, en faisant allusion notamment à l'Algérie lors d'un point de presse à Benghazi.
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