Jouant un rôle primordial de médiatisation concernant l’éclatement des affaires liées directement aux clans d’Oujda, le géant de la presse française « Le Monde » et le très pertinent « Petit journal », ont consacrés des numéros entiers aux affaires de Bouteflika et ses ministres.
Rempli de colère en lisant la une du journal français « Le Monde » faisait apparaître la photo de son frère aux côtés d’autres personnalités impliquées dans l’affaire de « Panama Papers » , Saïd Bouteflika le frère cadet de Abdelaziz qui s’est auto-imposé au tant que gouverneur au sommet de l’état colonial Algérien a tout de suite fait le nécessaire pour faire payer à ce journal le prix de son exercice journalistique. Saïd Bouteflika a bien sûr sauté sur cette occasion pour inclure dans son exercice de Roi, l’émission de Canal + « Le petit journal » qui a montré dans plusieurs numéros de leur émission le vrai état de santé de Abdelaziz, ainsi que la manipulation de la chaine « 0+ » pour l’opinion public.
La vengeance de Saïd Bouteflika contre « Le Monde » et le « petit journal » a eu lieu après leur courage de aller dans la direction opposée que celle de la position Française « Officielle » qui a choisi de soutenir l’état voyou sur le dos des peuples qui aspirent à la liberté.
En privant de visa d’entrée des journalistes Français qui ont été accrédités pour couvrir la visite de leur premier ministre Manuel Valls dans sa campagne de prospection en Algérie, Saïd Bouteflika a fait passer un message lourd dans son contenu diplomatique à la France et au gouvernement Français.
La lecture d’entre les lignes de cette censure, s’adresse indirectement à l’Elysée bien sûr, afin de maîtriser, ou restreindre la liberté de cette dérangeante presse au moins envers les Bouteflika et leurs sbires de tout genres.
D'ailleurs, le FLN a été actionné pour ouvrir le feu sur la presse française. Son chargé de communication a déclaré au quotidien « El Watan » que “ le Président se porte bien et son dossier de santé ne concerne pas la presse française. Nous lui lançons, à l’occasion, un autre avertissement et nous lui demandons de ne pas jouer avec le feu, surtout que les relations entre les deux pays sont fébriles. Les plaies ne sont pas encore cicatrisées ”, et il a demandé l’interdiction des journaux français «Le Monde» et «Le Figaro» notamment en Algérie.
Cela fait apparaitre à la surface le fait que les Bouteflika ont la main sur tout dans leur royaume : la presse lourde, les partis politiques, les chanteurs, l’internet, et même sur une certaine clientèle dite des intellectuels. Ce qu’ignorent les Bouteflika et leurs larbins, c’est qu’en France la presse est totalement indépendante, par ce fait elle est libre d’exercer son métier. Ce qu’ignorent aussi les Bouteflika, c’est que le gouvernement Français ne peut pas accepter d’ingérence dans ses affaires, ou des leçons de qui que se soit, et encore moins des criminels en ce qui concerne les affaires de leur pays.
Aussi, ce qu’ignore les Bouteflika et leurs larbins, c’est que leur soutien de la France « officielle » n’est pas éternel, et que peut être la fin du pétrole sonnera la fin de ce soutien malsain.
Pour rappel, le comportement de ce gouvernement de voyous, qui se croit en position de force après la signature de plusieurs contrats économiques avec la France en sauvant ainsi des sociétés en faillite, a eu lieu dans un contexte ou la France soutienne plusieurs régimes coloniaux et islamiques, au Moyen-Orient et en Afrique dans une politique à l’aveuglette afin d’atteindre des objectifs géopolitiques, tout en ignorant la volonté et les aspirations des peuples. L’histoire se souviendra encore une fois.
Marzouk,
Paris le 14/04/2016
SIWEL 142359 AVR 16
Rempli de colère en lisant la une du journal français « Le Monde » faisait apparaître la photo de son frère aux côtés d’autres personnalités impliquées dans l’affaire de « Panama Papers » , Saïd Bouteflika le frère cadet de Abdelaziz qui s’est auto-imposé au tant que gouverneur au sommet de l’état colonial Algérien a tout de suite fait le nécessaire pour faire payer à ce journal le prix de son exercice journalistique. Saïd Bouteflika a bien sûr sauté sur cette occasion pour inclure dans son exercice de Roi, l’émission de Canal + « Le petit journal » qui a montré dans plusieurs numéros de leur émission le vrai état de santé de Abdelaziz, ainsi que la manipulation de la chaine « 0+ » pour l’opinion public.
La vengeance de Saïd Bouteflika contre « Le Monde » et le « petit journal » a eu lieu après leur courage de aller dans la direction opposée que celle de la position Française « Officielle » qui a choisi de soutenir l’état voyou sur le dos des peuples qui aspirent à la liberté.
En privant de visa d’entrée des journalistes Français qui ont été accrédités pour couvrir la visite de leur premier ministre Manuel Valls dans sa campagne de prospection en Algérie, Saïd Bouteflika a fait passer un message lourd dans son contenu diplomatique à la France et au gouvernement Français.
La lecture d’entre les lignes de cette censure, s’adresse indirectement à l’Elysée bien sûr, afin de maîtriser, ou restreindre la liberté de cette dérangeante presse au moins envers les Bouteflika et leurs sbires de tout genres.
D'ailleurs, le FLN a été actionné pour ouvrir le feu sur la presse française. Son chargé de communication a déclaré au quotidien « El Watan » que “ le Président se porte bien et son dossier de santé ne concerne pas la presse française. Nous lui lançons, à l’occasion, un autre avertissement et nous lui demandons de ne pas jouer avec le feu, surtout que les relations entre les deux pays sont fébriles. Les plaies ne sont pas encore cicatrisées ”, et il a demandé l’interdiction des journaux français «Le Monde» et «Le Figaro» notamment en Algérie.
Cela fait apparaitre à la surface le fait que les Bouteflika ont la main sur tout dans leur royaume : la presse lourde, les partis politiques, les chanteurs, l’internet, et même sur une certaine clientèle dite des intellectuels. Ce qu’ignorent les Bouteflika et leurs larbins, c’est qu’en France la presse est totalement indépendante, par ce fait elle est libre d’exercer son métier. Ce qu’ignorent aussi les Bouteflika, c’est que le gouvernement Français ne peut pas accepter d’ingérence dans ses affaires, ou des leçons de qui que se soit, et encore moins des criminels en ce qui concerne les affaires de leur pays.
Aussi, ce qu’ignore les Bouteflika et leurs larbins, c’est que leur soutien de la France « officielle » n’est pas éternel, et que peut être la fin du pétrole sonnera la fin de ce soutien malsain.
Pour rappel, le comportement de ce gouvernement de voyous, qui se croit en position de force après la signature de plusieurs contrats économiques avec la France en sauvant ainsi des sociétés en faillite, a eu lieu dans un contexte ou la France soutienne plusieurs régimes coloniaux et islamiques, au Moyen-Orient et en Afrique dans une politique à l’aveuglette afin d’atteindre des objectifs géopolitiques, tout en ignorant la volonté et les aspirations des peuples. L’histoire se souviendra encore une fois.
Marzouk,
Paris le 14/04/2016
SIWEL 142359 AVR 16