Ahmed Haddag accuilli par les militants après sa libération
Ahmed Haddag a été rejoint par plusieurs militants à la clinique de Meddouha où la police coloniale l'a emmené pour un examen médical prouvant qu'il n'a pas été agressé.
Le ministre kabyle nous a informés qu'il a été présenté à 4 bureaux au sein du commissariat de Tizi-Ouzou, où il a répondu, à chaque fois, à un interrogatoire. Il nous a informé également qu'un policier arabe, le plus zélé, lui a reproché le fait de parler « d'Etat colonial » et lui a dit qu'il est toujours algérien. Ahmed Haddag, connu pour son calme, a alors répondu : « Oui peut-être que pour vous je suis algérien, mais c'est provisoire. Et pour moi je ne suis que kabyle ».
nbb
SIWEL 061821 DEC 16
Le ministre kabyle nous a informés qu'il a été présenté à 4 bureaux au sein du commissariat de Tizi-Ouzou, où il a répondu, à chaque fois, à un interrogatoire. Il nous a informé également qu'un policier arabe, le plus zélé, lui a reproché le fait de parler « d'Etat colonial » et lui a dit qu'il est toujours algérien. Ahmed Haddag, connu pour son calme, a alors répondu : « Oui peut-être que pour vous je suis algérien, mais c'est provisoire. Et pour moi je ne suis que kabyle ».
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SIWEL 061821 DEC 16