Issad Rebrab le président de Cevital et le premier ministre vioirien Jeannot Ahoussou-Kouadio, Abidjan, 05/06/2012 (PH/DR)
Dans une déclaration devant la presse à Abidjan, le 5 juin dernier, après sa rencontre avec Jeannot Ahoussou-Kouadio, le premier ministre ivoirien, le fondateur et président de Cevital, Isaad Rebrab a émis son vœu d’investir 1 milliard de dollars en Côte d’Ivoire dans les cinq prochaines années.
L'entreprise privée algérienne avec une croissance à deux chiffres depuis sa fondation en 1998, 2ème société algérienne par le chiffre d'affaires juste derrière Sonatrach, est à la recherche de nouvelles opportunités à l'étranger, maintenant que ses marchés en Algérie sont de plus en plus saturés.
« Nous avons décidé d'aller à l'international, notamment en Afrique, car nous sommes persuadés que la plus forte croissance au cours des dix prochaines années sera en Afrique », a déclaré Issad Rebrab.
« Nous avons demandé 300 000 hectares au Premier ministre ivoirien qui a dit qu'il n'y a aucun problème, il va essayer de nous l'accorder rapidement ... Nous sommes prêts à investir dès que les autorités ivoiriennes nous donnent un terrain, » a-t-il indiqué.
« Nous sommes passés de 39 millions de dollars (chiffre d'affaires) en 1999 à 3 milliards de dollars en 2011, et cette année, nous pensons que nous allons atteindre ou même dépasser 4 milliards de dollars, » a-t-il ajouté.
wbw
SIWEL 092023 JUIN 12
L'entreprise privée algérienne avec une croissance à deux chiffres depuis sa fondation en 1998, 2ème société algérienne par le chiffre d'affaires juste derrière Sonatrach, est à la recherche de nouvelles opportunités à l'étranger, maintenant que ses marchés en Algérie sont de plus en plus saturés.
« Nous avons décidé d'aller à l'international, notamment en Afrique, car nous sommes persuadés que la plus forte croissance au cours des dix prochaines années sera en Afrique », a déclaré Issad Rebrab.
« Nous avons demandé 300 000 hectares au Premier ministre ivoirien qui a dit qu'il n'y a aucun problème, il va essayer de nous l'accorder rapidement ... Nous sommes prêts à investir dès que les autorités ivoiriennes nous donnent un terrain, » a-t-il indiqué.
« Nous sommes passés de 39 millions de dollars (chiffre d'affaires) en 1999 à 3 milliards de dollars en 2011, et cette année, nous pensons que nous allons atteindre ou même dépasser 4 milliards de dollars, » a-t-il ajouté.
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