Le jeune Ameziane Mezdad était en train de filmer les scènes d'émeutes à Tizi-Ouzou quand il a été surpris par des policiers qui l'ont embarqué immédiatement. Son matériel lui a été immédiatement confisqué. Il a été gardé en détention pendant deux jours et n'a été relâché qu'aujourd'hui en liberté conditionnelle.
Le président du Mouvement pour l'autodétermination de l;a Kabylie (MAK), M. Bouaziz Ait-Chebib, qui a été informé aujourd'hui de la disparition du jeune homme a immédiatement dépêché une avocate du mouvement auprès du commissariat de police pour s'enquérir de ses nouvelles. La police a refusé de communiquer la moindre information à l'avocate sur le jeune homme prétextant ne pouvoir donner d'information qu'à la famille du jeune homme.
Finalement le jeune homme a été relâché en fin de journée mais il est en "liberté conditionnelle". Son seul crime est d'avoir filmé les forces de répression algérienne aux prises avec des jeunes kabyles à Tizi-Ouzou.
M. Ait-Chebib, qui avait contacté par téléphone la famille du jeune homme puis le jeune homme lui-même après sa libération les a assurés du soutien total de son mouvement et la mise à disposition d'un collectif d'avocats en cas de rebondissement de l'affaire. " Le jeune Ameziane a été arbitrairement arrêté juste pour avoir filmé les émeutes", a précisé le président du MAK, " si la police n'avaient rien à se reprocher, ils n'auraient pas eu besoin de procéder à l'arrestation du jeune homme, ni à la confiscation de son matériel" a-t-il encore ajouté.
Ameziane Mezdad est donc sorti de sa mésaventure avec la police algérienne avec une arrestation, deux jours de détention arbitraire et une libération conditionnelle mais il n'a pas été maltraité selon le témoignage du jeune homme.
cdb,
SIWEL 232113 AVR 14
Le président du Mouvement pour l'autodétermination de l;a Kabylie (MAK), M. Bouaziz Ait-Chebib, qui a été informé aujourd'hui de la disparition du jeune homme a immédiatement dépêché une avocate du mouvement auprès du commissariat de police pour s'enquérir de ses nouvelles. La police a refusé de communiquer la moindre information à l'avocate sur le jeune homme prétextant ne pouvoir donner d'information qu'à la famille du jeune homme.
Finalement le jeune homme a été relâché en fin de journée mais il est en "liberté conditionnelle". Son seul crime est d'avoir filmé les forces de répression algérienne aux prises avec des jeunes kabyles à Tizi-Ouzou.
M. Ait-Chebib, qui avait contacté par téléphone la famille du jeune homme puis le jeune homme lui-même après sa libération les a assurés du soutien total de son mouvement et la mise à disposition d'un collectif d'avocats en cas de rebondissement de l'affaire. " Le jeune Ameziane a été arbitrairement arrêté juste pour avoir filmé les émeutes", a précisé le président du MAK, " si la police n'avaient rien à se reprocher, ils n'auraient pas eu besoin de procéder à l'arrestation du jeune homme, ni à la confiscation de son matériel" a-t-il encore ajouté.
Ameziane Mezdad est donc sorti de sa mésaventure avec la police algérienne avec une arrestation, deux jours de détention arbitraire et une libération conditionnelle mais il n'a pas été maltraité selon le témoignage du jeune homme.
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