Le harcèlement policier contre les militants du MAK se poursuit. (PH/DR)
Une fois arrivés au commissariat, les trois militants ont dû remplir des fiches de renseignements, sans même avoir été informés des « motifs » de leur interpellation. Ils n’ont été relâchés qu’après avoir rempli ces fiches de renseignements.
Le samedi d'après, les trois militants, sont passés devant le commissariat où ils avaient été embarqués, le policier se trouvant la guérite, les a alors à nouveau appréhendé sans aucune raison puis il a appelé un de ces collègue qui les a alors emmenés à l’intérieur commissariat où les trois jeunes militant ont subi le même traitement que le mercredi d'avant: ils leur ont, à nouveau, rempli les mêmes fiches de renseignements.
C’est alors que les trois militants du mouvement autonomiste kabyles se sont insurgés contre cet abus de pouvoir et ont demandé la raison qui incitaient la police à les interpeller ainsi sans raison et à leur faire remplir les mêmes documents tout en rappelant qu’ils n’avaient à aucun moment enfreint une quelconque loi, c’est alors qu’un officier de police leur a textuellement répondu : « Pour le moment vous n'avez rien fait, mais on ne sait jamais à l'avenir », indiquant par-là que des « doutes » sont émis sur l’attitude de militants autonomistes kabyles dont le combat est pacifique tandis que les assassins multirécidiviste du terrorisme islamiste sont « chouchoutés » par les institutions de l’Etat en leur garantissant l’impunité de leurs crimes, des casiers judiciaires vierges, des compensations financières en plus d’une protection judicaire contre les éventuelles plaintes des familles des victimes.
Le président du MAK, aussitôt informé de la mésaventure des militants s'est entretenu avec les jeunes victimes du harcèlement policier. Il les a assurés de son soutien ainsi que de l’ensemble du mouvement autonomiste. Pour le président du MAK « ça dénote la panique qui règne au sommet du régime face la détermination du peuple kabyle à aller dans le sens de sa libération ».
cdb,
SIWEL
Le samedi d'après, les trois militants, sont passés devant le commissariat où ils avaient été embarqués, le policier se trouvant la guérite, les a alors à nouveau appréhendé sans aucune raison puis il a appelé un de ces collègue qui les a alors emmenés à l’intérieur commissariat où les trois jeunes militant ont subi le même traitement que le mercredi d'avant: ils leur ont, à nouveau, rempli les mêmes fiches de renseignements.
C’est alors que les trois militants du mouvement autonomiste kabyles se sont insurgés contre cet abus de pouvoir et ont demandé la raison qui incitaient la police à les interpeller ainsi sans raison et à leur faire remplir les mêmes documents tout en rappelant qu’ils n’avaient à aucun moment enfreint une quelconque loi, c’est alors qu’un officier de police leur a textuellement répondu : « Pour le moment vous n'avez rien fait, mais on ne sait jamais à l'avenir », indiquant par-là que des « doutes » sont émis sur l’attitude de militants autonomistes kabyles dont le combat est pacifique tandis que les assassins multirécidiviste du terrorisme islamiste sont « chouchoutés » par les institutions de l’Etat en leur garantissant l’impunité de leurs crimes, des casiers judiciaires vierges, des compensations financières en plus d’une protection judicaire contre les éventuelles plaintes des familles des victimes.
Le président du MAK, aussitôt informé de la mésaventure des militants s'est entretenu avec les jeunes victimes du harcèlement policier. Il les a assurés de son soutien ainsi que de l’ensemble du mouvement autonomiste. Pour le président du MAK « ça dénote la panique qui règne au sommet du régime face la détermination du peuple kabyle à aller dans le sens de sa libération ».
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