Copinage dévergondé du RCD avec les terroristes du FIS et autres arabo-islamistes (PH/DR)
Le rapprochement du RCD avec les indépendantistes kabyles était déjà consommé en avril 2015, mais non acté avant ce 08/03/2016. En effet, invité sur le plateau d’une chaîne de télévision arabe, ABC, émettant depuis Londres, Mohcine Belabbas abat enfin ses dernières cartes et nous laisse comprendre mieux pourquoi ceux qui dirigent le «seul parti démocrate en Algérie», comme ils aiment tant se définir, n’aient jamais condamné les arrestations quasi-quotidiennes des militants du MAK.
À la remarque de son interviewer selon laquelle, en Kabylie, le MAK est en train de supplanter le FFS et du RCD (les deux partis algérianistes kabyles, mais néanmoins frères-ennemis), le Medvedev de Sadi répond : « Je crois qu’il n’existe pas, à ce jour, en Kabylie, un problème qui s’appelle l’autodétermination ! » Il ajoute plus loin, «il n’y a pas de place en Kabylie pour un parti extrémiste !»
En assimilant le MAK à un parti politique, il décrète du coup que le droit d’un peuple à son autodétermination est de l’extrémisme. À moins de considérer que ce droit soit valable pour tous les peuples du monde à l’exception du peuple kabyle.
Par Mohcine Belabbas, les masques du RCD tombent enfin ! De tradition au RCD, le poste de numéro 2 est avant tout le réceptacle docile dont l’occupant, avec de la suite dans les idées du maitre, sert d’abord de chevrotine pendant les purges avant de se voir éjecté lui aussi et manu militari non sans se voir à son tour accusé de complot et de trahison. Et c’est toujours par l’éviction du numéro 2 que se soulève le couvercle de la marmite fumante du RCD, pleine de futilités, ambitions, ragots, accords suspects, faux-semblants et contre-vérités.
M. Mohcine Belabbas, président du RCD devant l’éternel… Saïd Sadi, se nourrit de deux illusions, la première est qu’il se croit vraiment au commandement du vaisseau à tel point qu’il prend à son compte l’alliance honteuse avec des criminels islamistes, alliance imposée à son parti et à son insu depuis que la question de l’autodétermination du peuple kabyle est justement posée. La deuxième illusion et qui le rend si imbu d’un sentiment panarabiste qu’il harangue dans un arabe châtié, le cède à la conviction que les prochaines échéances électorales confirmeront le fort, le très fort ancrage de son parti ! S’il parle de l’encrage de son parti dans les différentes régions d’Algérie, le leurre est donc énorme vu que son parti n’enregistre pas plus de 15 militants non kabyles après 27 ans d’existence. S’il parle de l’encrage de son parti en Kabylie, le leurre est aveuglant et critique, les sénatoriales passées indiquent qu’il est en passe d’y être délogé définitivement.
.
Toutefois, depuis novembre dernier, des rumeurs, puis des informations font état de visites régulières au Maroc des deux plus hauts responsables du RCD, Mohcine Belabbas et Said Sadi. Il est pour le moins curieux que ces voyages s’intensifient depuis que le Royaume Chérifien, lors la 70ème session de l’ONU, se soit prononcé en faveur du droit du peuple kabyle à son autodétermination.
L’on susurre dans les milieux initiés que leur mission secrète, confiée par Alger, ne serait rien d’autre que d’amener le Maroc à se rétracter sur sa position favorable au MAK et au Gouvernement Provisoire Kabyle en exil, en contrepartie d’une promesse illusoire d’un lâchage à terme du Polisario par l’Algérie. Pour ce faire, un poste d’ambassadeur d’Algérie au Maroc pour l’un des deux protagonistes serait un excellent investissement.
Affaire, à suivre...
Raveh At Xalfun.
SIWEL 131629 MAR 16
À la remarque de son interviewer selon laquelle, en Kabylie, le MAK est en train de supplanter le FFS et du RCD (les deux partis algérianistes kabyles, mais néanmoins frères-ennemis), le Medvedev de Sadi répond : « Je crois qu’il n’existe pas, à ce jour, en Kabylie, un problème qui s’appelle l’autodétermination ! » Il ajoute plus loin, «il n’y a pas de place en Kabylie pour un parti extrémiste !»
En assimilant le MAK à un parti politique, il décrète du coup que le droit d’un peuple à son autodétermination est de l’extrémisme. À moins de considérer que ce droit soit valable pour tous les peuples du monde à l’exception du peuple kabyle.
Par Mohcine Belabbas, les masques du RCD tombent enfin ! De tradition au RCD, le poste de numéro 2 est avant tout le réceptacle docile dont l’occupant, avec de la suite dans les idées du maitre, sert d’abord de chevrotine pendant les purges avant de se voir éjecté lui aussi et manu militari non sans se voir à son tour accusé de complot et de trahison. Et c’est toujours par l’éviction du numéro 2 que se soulève le couvercle de la marmite fumante du RCD, pleine de futilités, ambitions, ragots, accords suspects, faux-semblants et contre-vérités.
M. Mohcine Belabbas, président du RCD devant l’éternel… Saïd Sadi, se nourrit de deux illusions, la première est qu’il se croit vraiment au commandement du vaisseau à tel point qu’il prend à son compte l’alliance honteuse avec des criminels islamistes, alliance imposée à son parti et à son insu depuis que la question de l’autodétermination du peuple kabyle est justement posée. La deuxième illusion et qui le rend si imbu d’un sentiment panarabiste qu’il harangue dans un arabe châtié, le cède à la conviction que les prochaines échéances électorales confirmeront le fort, le très fort ancrage de son parti ! S’il parle de l’encrage de son parti dans les différentes régions d’Algérie, le leurre est donc énorme vu que son parti n’enregistre pas plus de 15 militants non kabyles après 27 ans d’existence. S’il parle de l’encrage de son parti en Kabylie, le leurre est aveuglant et critique, les sénatoriales passées indiquent qu’il est en passe d’y être délogé définitivement.
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Toutefois, depuis novembre dernier, des rumeurs, puis des informations font état de visites régulières au Maroc des deux plus hauts responsables du RCD, Mohcine Belabbas et Said Sadi. Il est pour le moins curieux que ces voyages s’intensifient depuis que le Royaume Chérifien, lors la 70ème session de l’ONU, se soit prononcé en faveur du droit du peuple kabyle à son autodétermination.
L’on susurre dans les milieux initiés que leur mission secrète, confiée par Alger, ne serait rien d’autre que d’amener le Maroc à se rétracter sur sa position favorable au MAK et au Gouvernement Provisoire Kabyle en exil, en contrepartie d’une promesse illusoire d’un lâchage à terme du Polisario par l’Algérie. Pour ce faire, un poste d’ambassadeur d’Algérie au Maroc pour l’un des deux protagonistes serait un excellent investissement.
Affaire, à suivre...
Raveh At Xalfun.
SIWEL 131629 MAR 16