Dans une réunion qu’il a tenue avec un étudiant connu pour ses accointances avec l’administration et son passé trouble de corrompu, le Wali-walou de Tizi-Ouzou lui a demandé de mener des actions répressives à l’encontre des militants du MAK de la FAC de Tizi-Ouzou, et ce, en instrumentalisant les réseaux de voyous avec lesquels il entretient des relations d’intérêt commun. En échange, « l’étudiant » a reçu les garanties de l’administrateur colonial Merrad qui a promis de lui livrer sur un plateau d'argent « la gestion » de la cité universitaire dont il est résident et des faveurs pédagogiques dans son cursus universitaire.
Le Conseil universitaire du MAK à Tizi-Ouzou appelle l’ensemble des étudiants militants du MAK à l’extrême vigilance, et les invite à se rapprocher de leurs camarades. Le conseil universitaire de Tizi-Ouzou entreprendra très rapidement des contacts avec ses membres et l'ensemble des étudiants afin de prévenir et de parer à toute agression contre eux.
A voir les multiples tentatives de casser le MAK, unique activité de l’administrateur Merrad, il faut croire que la seule mission dont le pouvoir colonial d’Alger a investi son vassal est de liquider le MAK. Il est à rappeler que le premier responsable de l’administration coloniale à Tizi-Ouzou n’est rien de plus qu’un affairiste, un simple « importateur de pomme de terre » qui gère une entreprise familiale d’import-import à partir de la Hongrie où l’un de ses enfants est installé…et c’est en exerçant ce commerce, qui ne produit rien, que « l’importateur de pomme de terre » se permet en plus de donner des leçons de patriotisme tout en n’éprouvant aucune gêne à appeler les simples citoyens à se serrer la ceinture pour payer un peu plus cher la pomme de terre qu’il lui aura ramené de Hongrie….
Après avoir pris connaissance de ce plan visant à combattre les étudiants du MAK, les responsables du Conseil universitaire ont tenu à mettre en garde contre toute atteinte aux étudiant(e)s et assurent que les intimidations, les menaces et les plans d’action de ces apprentis dictateurs visant à museler les étudiants kabyles chez eux auront les réponses appropriées.
Aussi, le Conseil universitaire MAK de Tizi-Ouzou prend à témoin l’opinion publique kabyle et l’informe sur le fait que l’administration algérienne et son pouvoir mafieux cherchent à entraîner la communauté estudiantine kabyle sur le terrain de la violence. Le Conseil ne compte pas se laisser faire, néanmoins, en cas de troubles ou de violence, la responsabilité pleine et entière relève de l’administration algérienne et d’elle seule.
Enfin, le Conseil Universitaire rappelle que les braises de 2001 ne sont pas si loin. Personne n’a rien oublié, rien pardonné. Les Kabyles n’accepteront plus jamais d’être sacrifiés pour la survie du régime algérien qui est en proie à une crise politique, militaire et financière sans précédent ! Cette fois, il est hors de question que la Kabylie paye l’addition !
Allez fomenter vos troubles ailleurs !
Le Conseil universitaire MAK de Tizi-Ouzou
SIWEL 040947 FEV 16
Le Conseil universitaire du MAK à Tizi-Ouzou appelle l’ensemble des étudiants militants du MAK à l’extrême vigilance, et les invite à se rapprocher de leurs camarades. Le conseil universitaire de Tizi-Ouzou entreprendra très rapidement des contacts avec ses membres et l'ensemble des étudiants afin de prévenir et de parer à toute agression contre eux.
A voir les multiples tentatives de casser le MAK, unique activité de l’administrateur Merrad, il faut croire que la seule mission dont le pouvoir colonial d’Alger a investi son vassal est de liquider le MAK. Il est à rappeler que le premier responsable de l’administration coloniale à Tizi-Ouzou n’est rien de plus qu’un affairiste, un simple « importateur de pomme de terre » qui gère une entreprise familiale d’import-import à partir de la Hongrie où l’un de ses enfants est installé…et c’est en exerçant ce commerce, qui ne produit rien, que « l’importateur de pomme de terre » se permet en plus de donner des leçons de patriotisme tout en n’éprouvant aucune gêne à appeler les simples citoyens à se serrer la ceinture pour payer un peu plus cher la pomme de terre qu’il lui aura ramené de Hongrie….
Après avoir pris connaissance de ce plan visant à combattre les étudiants du MAK, les responsables du Conseil universitaire ont tenu à mettre en garde contre toute atteinte aux étudiant(e)s et assurent que les intimidations, les menaces et les plans d’action de ces apprentis dictateurs visant à museler les étudiants kabyles chez eux auront les réponses appropriées.
Aussi, le Conseil universitaire MAK de Tizi-Ouzou prend à témoin l’opinion publique kabyle et l’informe sur le fait que l’administration algérienne et son pouvoir mafieux cherchent à entraîner la communauté estudiantine kabyle sur le terrain de la violence. Le Conseil ne compte pas se laisser faire, néanmoins, en cas de troubles ou de violence, la responsabilité pleine et entière relève de l’administration algérienne et d’elle seule.
Enfin, le Conseil Universitaire rappelle que les braises de 2001 ne sont pas si loin. Personne n’a rien oublié, rien pardonné. Les Kabyles n’accepteront plus jamais d’être sacrifiés pour la survie du régime algérien qui est en proie à une crise politique, militaire et financière sans précédent ! Cette fois, il est hors de question que la Kabylie paye l’addition !
Allez fomenter vos troubles ailleurs !
Le Conseil universitaire MAK de Tizi-Ouzou
SIWEL 040947 FEV 16