C’est dans la commune d’Agouni Gueghrane que les travaux de cette réunion se sont déroulés. Cette rencontre se veut être un hommage au grand chanteur kabyle de tous les temps en l’occurrence Slimane Azem. Inutile de rappeler que Dda Slimane est ciblé même après sa mort. Une équipe de l’ENTV pilotée sur les lieux par les supplétifs locaux du RND, voulait vaille que vaille réaliser un reportage de tissu de mensonge sur le poète. Heureusement que la famille Azem et des citoyens de la région sont vigilants. Ils ont refoulé l’équipe diligentée par le pouvoir d’Alger.
Le Président du MAK entama son discours devant les militants(es), et en présence d’une invitée d’honneur Nna Ferroudja poétesse et ancienne Moudjahida, par une explication pédagogique sur les dimensions et l’évolution politiques du droit à l’autodétermination du peuple kabyle. En développant toutes les étapes historiques traversées par le peuple kabyle dans le combat pacifique pour arriver aujourd’hui à la nouvelle étape de revendiquer son droit à autodétermination. Droit inscrit dans tous les instruments du droit international auxquels l’Algérie adhère et transpose dans son droit interne notamment en mettant en exergue même l’Article 27 de la Constitution algérienne qui stipule : « l’Algérie est solidaire de tous les peuples qui luttent pour leur libération politique et économique, pour leur droit à l’autodétermination et contre toute discrimination raciale ».
Après un large débat, les militantes et les militants de la région des Ouadhias, à leur tête Hachim Mohand Ouamer, conseiller du président du MAK, ont salué l’initiative de la Direction de leur mouvement. En approuvant chaleureusement la perspective de la Conférence Nationale des cadres du MAK en débat pour aller vers un réaménagement d’objectifs stratégiques du mouvement en transition. Au diapason des bouleversements politiques que traversent la Kabylie en vue de recouvrer tous ses attributs de souveraineté confisqués par les aléas de l’Histoire dont le destin de la liberté du peuple kabyle reste séquestré par le régime d’Alger .
Le Président du MAK n’a pas oublié au final de la plénière d’inviter toutes les bonnes volontés éprises de la liberté du peuple kabyle d’agir. Et ce dans le sens de l’Histoire en transcendant toutes les considérations qui ont entravées des années durant le développement tous azimuts de la Kabylie. Cela, dans toutes ses dimensions de nation et de peuple pour accéder à un État kabyle qui protégera et défendra tous les Kabyles qu’ils que soient leurs appartenances.
Le Président du MAK entama son discours devant les militants(es), et en présence d’une invitée d’honneur Nna Ferroudja poétesse et ancienne Moudjahida, par une explication pédagogique sur les dimensions et l’évolution politiques du droit à l’autodétermination du peuple kabyle. En développant toutes les étapes historiques traversées par le peuple kabyle dans le combat pacifique pour arriver aujourd’hui à la nouvelle étape de revendiquer son droit à autodétermination. Droit inscrit dans tous les instruments du droit international auxquels l’Algérie adhère et transpose dans son droit interne notamment en mettant en exergue même l’Article 27 de la Constitution algérienne qui stipule : « l’Algérie est solidaire de tous les peuples qui luttent pour leur libération politique et économique, pour leur droit à l’autodétermination et contre toute discrimination raciale ».
Après un large débat, les militantes et les militants de la région des Ouadhias, à leur tête Hachim Mohand Ouamer, conseiller du président du MAK, ont salué l’initiative de la Direction de leur mouvement. En approuvant chaleureusement la perspective de la Conférence Nationale des cadres du MAK en débat pour aller vers un réaménagement d’objectifs stratégiques du mouvement en transition. Au diapason des bouleversements politiques que traversent la Kabylie en vue de recouvrer tous ses attributs de souveraineté confisqués par les aléas de l’Histoire dont le destin de la liberté du peuple kabyle reste séquestré par le régime d’Alger .
Le Président du MAK n’a pas oublié au final de la plénière d’inviter toutes les bonnes volontés éprises de la liberté du peuple kabyle d’agir. Et ce dans le sens de l’Histoire en transcendant toutes les considérations qui ont entravées des années durant le développement tous azimuts de la Kabylie. Cela, dans toutes ses dimensions de nation et de peuple pour accéder à un État kabyle qui protégera et défendra tous les Kabyles qu’ils que soient leurs appartenances.